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« Les collectivités, premières bénéficiaires de l’open data » – Claire Gallon, LiberTIC

Publié le 21/01/2013 • Par Frédéric Ville • dans : Dossiers d'actualité

Selon Claire Gallon, de l’association LiberTIC, en ouvrant leurs données, les collectivités améliorent notamment le fonctionnement de leurs services.

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L’open data est utile aux développeurs, chercheurs, journalistes ou citoyens, mais aussi aux collectivités. Expliquez-nous.

Les collectivités sont les premières bénéficiaires de l’open data. C’est un outil de décloisonnement des services publics et d’amélioration des bases de données. Il favorise, de plus, l’innovation et le dialogue avec les acteurs extérieurs. C’est également un moyen de se mettre en conformité avec la loi du 17 juillet 1978 pour l’amélioration des relations entre l’administration et le public, texte qui impose de disposer d’un répertoire de données publiques (1) auxquelles les citoyens peuvent accéder. Désormais, ces derniers peuvent exercer ce droit facilement.

L’ouverture des données permet par ailleurs un meilleur fonctionnement des services…

Oui, des collectivités nous expliquent qu’elles ont ainsi mieux appréhendé leurs données. Rennes a découvert que sa base relative aux stations de vélo en libre service n’était pas à jour, les corrections des projets d’implantation n’ayant pas été intégrées.

Par ailleurs, ouvrir ses données peut permettre de rationaliser son système informatique, évitant ainsi que les données ne soient éparpillées. Dans certains cas, cela évite à différents services de tenir à jour les mêmes données ; dans d’autres cas, un service en trouve… qu’il ignorait être détenues par un autre service.

Enfin, les collectivités renverront de plus en plus souvent les citoyens demandeurs d’informations aux bases de données ouvertes. Au final, on aboutira donc, par ricochet, à des gains de temps et à des économies budgétaires. Rappelons que, en Grande-Bretagne, l’open data s’est développé à cette fin dans les collectivités.

Peut-on imaginer que, d’externes, les portails deviennent internes, eu égard à leur qualité ?

Les administrations anglo-saxones semblent développer plus rapidement une culture de la donnée en interne. In fine, les bases deviennent des outils décisionnels. A ce titre, force est constater que certaines villes françaises engagées dans des projets de « smart cities », ou villes intelligentes (2), ont malgré tout très peu de données à elles et de qualité. Il leur faut travailler à l’appropriation et à la qualification.

Certaines collectivités, comme le conseil général de Saône-et-Loire, ont commencé : les outils de visualisation de la plateforme sont ainsi utilisés par les agents qui n’en possédaient pas.

Libérer ses données, c’est également communiquer…

Les premières collectivités à avoir mis en place des plateformes (Rennes, Paris, Montpellier, Nantes) en ont tiré un grand bénéfice. A l’occasion de l’ouverture de ses données, Nantes expliquait n’avoir jamais été autant sollicité par les journalistes et les autres collectivités. L’open data est un véritable projet de communication dont l’intérêt est de développer des services et de mettre la donnée au cœur des territoires.

Cet article fait partie du Dossier

Open Data et réutilisation des données publiques : des promesses vertigineuses

Sommaire du dossier

  1. « L’ouverture des données ressemble à la tour de Pise »
  2. Pourquoi mettre en place une gestion publique de la data
  3. Les grandes collectivités, locomotives de l’open data
  4. Open data : « A compter du 9 juin 2024, il y a une nouvelle obligation pour tous les acteurs publics »
  5. Les données environnementales, une faille dans le pilotage de la transition écologique
  6. L’Union européenne précise les modalités de publication des données ouvertes
  7. Quand la data éclaire la politique de la ville
  8. Politique de la ville : et une, et deux, et trois « clauses data »
  9. « On croit que la Cnil n’aime pas l’échange de données, mais pas du tout ! »
  10. Charte territoriale de la donnée, mode d’emploi
  11. Culture de la donnée : zoom sur deux projets territoriaux
  12. Echange de données : ce que change la loi 3DS
  13. Respecter les standards de données en 5 points clés
  14. Données et algorithmes : une feuille de route dessine la relation Etat-collectivités
  15. Une circulaire pour une meilleure circulation des données
  16. Garantir la souveraineté de la collectivité sur ses données
  17. Garantir la transparence et l’ouverture des données publiques
  18. Dijon géolocalise ses bassins d’emploi pour mieux identifier leurs besoins
  19. Protéger les données à caractère personnel
  20. Des idées de nouveaux services foisonnent grâce à l’open data
  21. Ce qu’il faut retenir du projet de loi pour une République numérique
  22. Rennes métropole dresse un bilan nuancé de son service public de la donnée
  23. Open data et collectivités : qui fait quoi, et comment ?
  24. Open data : « Le mouvement qui s’enclenche est inéluctable » – Axelle Lemaire
  25. « L’opendata est avant tout un projet organisationnel » – Laurence Comparat
  26. Mobilité : l’échange de données est-il gagnant-gagnant ?
  27. Les alléchantes données d’Uber aiguisent l’appétit des collectivités
  28. « Voir les données comme une infrastructure est un enjeu majeur de souveraineté » – Henri Verdier
  29. Une interco pionnière dans l’ouverture des données
  30. “L’open data par défaut ne pourra pas se faire sans médiation numérique” – Samuel Goëta
  31. Révision à la baisse de l’opendata dans les collectivités locales
  32. Open data, un nouvel élan pour le tourisme
  33. Libre accès aux données publiques : comment mettre en œuvre les nouvelles obligations
  34. Open data : comment réussir l’ouverture de ses données publiques
  35. En Nouvelle Aquitaine, l’observatoire Nafu affûte la connaissance du foncier grâce aux données publiques
  36. « L’open data ne devrait être qu’une des modalités d’ouverture des données publiques »
  37. Open data : l’Occitanie est un territoire-pilote
  38. Rennes construit le « service public métropolitain de la donnée »
  39. Quand les agences d’urbanisme se saisissent de l’open data
  40. Coopération public – privé et données : comment et pourquoi les collectivités doivent reprendre la main
  41. Le décret sur les données de référence, nouvelle pierre pour la généralisation de l’opendata
  42. Projet de loi Valter : un (tout) petit pas pour l’opendata
  43. Réutilisation des données publiques : des promesses vertigineuses
  44. L’open data, atout maître dans la course aux économies ?
  45. L’ouverture des données publiques en France reste perfectible
  46. Mobilités : les collectivités se rapprochent d’Uber, Waze et Blablacar
  47. La métropole, « bonne échelle pour développer le service public local de la donnée »
  48. Le fouillis des licences open data s’éclaircit [Fiche pratique]
  49. “Les données d’autorité restent un instrument de souveraineté”- Pascal Berteaud, DG de l’IGN
  50. Open data : le service public augmenté – Des données ouvertes de plus en plus cadrées
  51. Données publiques : une nouvelle économie des services publics en débat
  52. Les acteurs publics, gros acheteurs des données… publiques
  53. OaklandOpenBudget ou quand les citoyens se saisissent de l’Open Data
  54. Open data : quels coûts pour les collectivités territoriales
  55. Open data : le service public augmenté – 1. Cap sur la réutilisation
  56. Open data : le service public augmenté – 3. Des territoires riches de données
  57. Open data : le service public augmenté – 2. L’atout de la mutualisation
  58. L’open data, véritable voie de modernisation pour les administrations
  59. Open data et tourisme : un potentiel qui reste à transformer
  60. « Les collectivités, premières bénéficiaires de l’open data » – Claire Gallon, LiberTIC
  61. Open data : la transparence démocratique demeure virtuelle
  62. La FING, partenaire et centre de ressources
  63. Une évaluation sans concession mais lucide de l’open data en Loire-Atlantique

Notes

Note 01 Toutes les données collectées dans le cadre d’une mission de service public, NDLR. Retour au texte

Note 02 Caractérisées par un développement urbain durable et une qualité de vie, grâce à une gouvernance participative, NDLR. Retour au texte

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