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Cadres territoriaux

Les directeurs généraux sont-ils formatés ?

Publié le 22/11/2021 • Par Jean-Baptiste Forray • dans : France

DGS-couverture
ADOBESTOCK
Face à la contrainte budgétaire qui se resserre, les directeurs généraux des services (DGS) sont attendus au chapitre financier. Au point de mettre sur la touche ceux qui sont plus portés sur le management des équipes et les projets urbains ? Pas si simple.

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C’est une petite musique que l’on entend au détour des congrès de directeurs généraux. Certains DG seraient un brin formatés, un peu trop coulés dans le moule des tableaux de bord financiers et des cabinets de consultants. Spécialisés dans les grandes collectivités urbaines, ils voleraient de poste en poste, tels des préfets, en quête du graal : l’entrée dans l’admi­nistration centrale.

Leurs mots clés : « mobilité » et « passerelle ». Soutiens ardents de la réforme de la haute fonction publique, ces « Macron » des collectivités, à l’évidence, dérangent. Mais sont-ils, pour autant, représentatifs d’une nouvelle vague prête à engloutir tout le secteur public local ? Pas si sûr.

« La “gestionnite”, qui se caractérise par l’accès privilégié des directeurs adjoints chargés des finances aux ...

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Les directeurs généraux sont-ils formatés ?

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HERMES

23/11/2021 10h23

Mettre en avant les DGS est une bonne chose. Ils font souvent un travail ingrat entre le marteau et l’enclume.
D’un côté ils doivent mettre en musique les attentes politiques des élus, tout en prenant en compte les observations de leurs troupes.
Enfin, ils ont pour responsabilité de tenir les rênes des finances.

Leur place est donc délicate et les heures à exercer leurs missions leur permettent souvent de faire les 35 heures deux fois par semaine!

Mais on oublie trop souvent qu’une tête sans les pieds n’a que peu de possibilité de réussir.
J’observe donc une scission entre les cadres dirigeants des collectivités et les autres cadres. Ce principe se retrouve souvent dans la mise en place du RIFSEEP où les régimes indemnitaires entre ces deux groupes est flagrant.
On retrouve également ce conflit dans les compétences des uns et des autres. De plus en plus souvent les DGS font appel à des consultants pour ce qui touche notamment à la comptabilité et aux finances. Ainsi, petit à petit les principes du privé entrent dans les hautes sphères de la territoriale et des évolutions commencent à germer… mais tout cela au détriment des autres agents qui ont du mal à s’inscrire dans ce nouveau moule, ce qui est « normal » étant donné qu’ils ne disposent pas du même niveau d’information.

Concrètement, à force de s’inspirer du mode de fonctionnement du privé, on a tendance à le singer en ne prenant que les points les plus négatifs.
Si le monde de l’entreprise doit bien inspirer la sphère publique, cette dernière doit néanmoins conserver son ADN et ne pas transiger sur ce qui fait sa raison d’être: l’humain, à commencer à l’appliquer au sein de sa structure…

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