Le télétravail, nouveau mode d’organisation propulsé par la crise sanitaire a désormais un cadre pour la fonction publique. Un accord national a été signé en juillet dernier. Il repose sur certains principes parmi lesquels le volontariat de l’agent, 3 jours maximum par semaine de télétravail pour un agent à temps plein, il peut être organisé au domicile de l’agent, dans un autre lieu privé ou encore un tiers lieu.
Il est en tout cas dit que l’employeur doit fournir à l’agent en télétravail l’accès aux outils numériques nécessaires pour pouvoir exercer son activité, communiquer avec son supérieur hiérarchique et son collectif de travail.
S’ouvre ainsi une nouvelle étape pour le travail à distance et avec elle, une nouvelle façon (ou pas d’ailleurs) d’appréhender la motivation et la cohésion des équipes.
Claudio Vandi, directeur des contenus à Numa et Christine Echelard, DGA ressources et performance vie et évolution de la collectivité à la région Normandie en ont débattu lors d’Innova’ter 2021.
Voir ou revoir la table ronde en replay
Evénement réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Cet article fait partie du Dossier
Le télétravail, un défi de taille pour la territoriale
Sommaire du dossier
- Télétravail : les collectivités s’organisent durablement
- Télétravail : des clés pour protéger la santé des agents
- Télétravail, les 7 erreurs à ne plus commettre
- Le bilan pas si rose du télétravail
- Les Retex sur l’hybridation du travail comme nouveau modèle d’organisation
- Les risques du travail en mode hybride
- Comment maintenir la motivation et cohésion des équipes à distance ?
- Télétravail : l’expérience de deux collectivités plus qu’enthousiastes
- Télétravail : même imparfait, il convainc les agents
- Le succès du télétravail passe par les managers
- Confinement : comment organiser le télétravail avec les agents du secteur public ?
- Collectivités et agents frileux sur le télétravail à temps plein
Thèmes abordés