Fermer

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Menu

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Biodiversité

La désartificialisation des cours d’eau, une course de fond

Publié le 30/08/2022 • Par Isabelle Verbaere • dans : France

Dans le Pas-de-Calais, la rivière Hem a été renaturée. On y observe trois fois plus de nids de ponte qu’avant.
Dans le Pas-de-Calais, la rivière Hem a été renaturée. On y observe trois fois plus de nids de ponte qu’avant. D.R.
La restauration hydromorphologique des cours d’eau connaît un véritable essor. Les données de suivi de la biodiversité sur les sites renaturés il y a plusieurs années sont encourageantes.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

Cet article fait partie du dossier

La gestion de l'eau et ses méandres

Truite de mer, saumon, lamproie fluviatile… : huit espèces sur neuf de poissons migrateurs présentes dans l’Hexagone ont un statut défavorable de conservation, selon l’Union internationale de conservation de la nature en, 2019. L’esturgeon, l’anguille et la grande alose sont en danger critique d’extinction. Ces poissons, dits « amphilhalins », ont besoin, pour se nourrir et se reproduire, de se déplacer entre les eaux douces continentales et les eaux salées marines. Mais ils sont bloqués lorsqu’ils remontent les cours d’eau par des retenues, des moulins, des barrages. L’OFB précise que la France compte, en 2019, un obstacle à l’écoulement tous les 6 kilomètres. Mais ces poissons sont vite de retour lorsqu’ils peuvent à nouveau circuler librement.

[90% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Gazette des Communes

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Découvrez nos formules et accédez aux articles en illimité

Je m’abonne
Réagir à cet article
shadow
marche online

Aujourd'hui sur les clubs experts gazette

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

La désartificialisation des cours d’eau, une course de fond

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement