Une quatrième version du code mondial antidopage a été adoptée lors de la cinquième conférence mondiale sur le dopage en novembre 2019. C’est la raison pour laquelle une ordonnance du 21 avril procède à la mise en conformité du droit français avec ces nouvelles dispositions, au sein du code du sport. Elle rajoute par exemple la notion nouvelle du sportif de niveau récréatif.
L’Agence nationale du sport et les ligues professionnelles sont notamment rajoutées aux acteurs de la prévention du dopage et introduit le rôle de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) en matière d’éducation.
Cet article fait partie du Dossier
La lutte contre le dopage
1 / 4
article suivantSommaire du dossier
- Lutte contre le dopage : le code du sport est modifié
- Une préoccupation internationale
- Les agissements prohibés
- Les opérations de contrôle
Domaines juridiques