Qu’est ce que la « low-tech » ?
Il n’existe pas de définition exacte, y compris lorsqu’on consulte les spécialistes du sujet comme Philippe Bihouix (1). L’idée est avant tout de prendre le contre-pied de la high-tech. Bien sûr, la technologie peut être utile et pertinente. Mais pas s’il s’agit de suivre l’offre des fournisseurs et de créer de nouveaux besoins. Les low-tech consistent à adopter une démarche globale, transversale et systémique qui remet l’usage au cœur de l’innovation.
La ville low tech serait-elle l’anti-smart city ?
Tout dépend de l’acception qu’on donne à ce terme. La vraie intelligence, ce n’est pas l’invention de nouveaux objets mais la capacité à transformer la société. En miniaturisant les composants, on tend à consommer de plus en plus de ressources et on rend très ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Cet article est en relation avec les dossiers
Thèmes abordés