Parmi les importantes mesures que le Gouvernement a imposées à la population pour freiner la progression de l’épidémie de coronavirus, ne figure pas la fermeture des marchés alimentaires. Le ministre de l’agriculture revendiquait encore récemment une victoire à ce sujet, ce mode d’approvisionnement étant considéré comme essentiel, à la fois pour écouler l’offre et pour satisfaire la demande.
Le 22 mars 2020, le Conseil d’Etat a jugé, en référé liberté (n°439674), que le dispositif relatif au « fonctionnement des marchés ouverts, sans autre limitation que l’interdiction des rassemblements de plus de cent personnes » n’était pas satisfaisant, et que leur « maintien paraît autoriser dans certains cas des déplacements et des comportements contraires à la consigne générale.
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
Cet article est en relation avec le dossier
Domaines juridiques
Sur le même sujet
-
METROPOLE AIX MARSEILLE PROVENCEGestionnaire support juridique marchés publics - F/HBouches-du-Rhône
-
CA DU GRAND AVIGNONDirecteur adjoint des affaires juridiques et patrimoniales (H/F)Vaucluse
-
RANDSTADChargé des Marchés Publics et Affaires Juridiques H/FGironde
-
SIAAPConseiller juridique achat public- référent investissement(H/F)Paris - 12ème arrondissement
-
SIAAPConseiller juridique achat public (H/F)Paris - 12ème arrondissement
Aujourd'hui sur les clubs experts gazette
[Dossier] Fiscalité locale 3/3
Romaric Nazon : « Avec la fiscalité qui se nationalise, les contribuables ne comprennent plus »
Nos services
Prépa concours

Évènements

Formations





