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Conflits d'aménagements

Zones à Défendre : les aménageurs face à une nouvelle contrainte

Publié le 01/02/2016 • Par Hugo Soutra • dans : A la une, actus experts technique, France

NDdL_ZaD_Preparation
Llann Wé (wikicommons)
La multiplication récente des « Zones à Défendre » – un mode de protestation nouveau, basé notamment sur l'occupation de chantier – rend l’issue des conflits d’aménagement du territoire de plus en plus incertaine. Les ZAD contraignent les maîtres d'ouvrage à bâtir un dialogue réellement constructif avec les opposants, persuadés que les politiques d’aménagement n’ont pas suffisamment évolué depuis la fin des Trente glorieuses. Explications.

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ZAD : sortons de l'impasse !

Que l’on songe au redimensionnement du barrage de Sivens (Tarn), à l’interruption de la construction d’un village de vacances Center Parcs à Roybon (Isère) ou aux travaux de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique) n’ayant toujours pas débuté, plusieurs projets d’aménagement – portés ou du moins ouvertement soutenus par des collectivités territoriales – paraissent au point mort.

Partagées par un certain nombre de pays occidentaux, les difficultés, semble-t-il croissantes, à faire accepter l’aménagement du territoire n’ont cependant rien de nouveau, signale le docteur en urbanisme Jean-Marc Dziedzicki : « Nous avions un peu oublié, en France, ce qu’étaient les conflits d’aménagement. Mais les zones à défendre s’inscrivent, en réalité, pleinement dans la lignée des grands pics conflictuels des années 70 et 90. »

Manque de cohérence et de sincérité

Encore plus en phase avec les préoccupations contemporaines que lors des Trente glorieuses, l’impératif de protéger ...

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Zones à Défendre : les aménageurs face à une nouvelle contrainte

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Nicolas Rod

01/02/2016 04h40

Très bon article, on sent que cela vient d’un ancien de l’IFG !

kelenec

01/02/2016 07h22

Qui plus est, vous omettez même de rappeler que c’est l’épouse du Préfet Bernard Hagesteen (immédiatement embauché par Vinci) qui rejeta (en qualité de présidente de la section ad hoc du Conseil d »Etat) les recours des opposants;
Pour faire plus magouille. Il n’y a pas mieux.
Pour peu que l’on étudie le dossier on comprend que ce sont les projets iùmmobiliers sur St Aignan, Couets, Rezé ) qui attisent les convoitises des pro du BTP et de l’Immobilier.Tous à la tête de multiples SCi notamment.

etienne

02/02/2016 07h51

Article très intéressant… mais le « malgré que  » en début de paragraphe gâche tout !!

Yann

02/02/2016 09h25

Vous écrivez: « le fait d’avoir abandonné les actions de désobéissance civile pour plus de radicalité ».

Je ne vois pas où on a renoncé à la désobéissance civile! L’occupation est une forme de désobéissance civile. Les actions des zadistes sont effectivement non violentes. La violence constatée ici et là est en effet provoquée par l’usage de la force publique et n’existerait pas si les aménageurs ne tenteraient pas justement d’en faire usage!

Quand à la rédicalité; c’est simplement le fait le prendre le problème à la racine, ce qui est effectivement fait par les zadistes. Concernant l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Bretagne, il s’agit par exemple de lutter « contre l’aéroport et le monde qui l’engendre »!

Jean-LuK

02/02/2016 09h39

« Les occupants des ZAD (ici à Sivens) légitiment d’autant plus facilement le fait d’avoir abandonné les actions de désobéissance civile pour plus de radicalité que, dans bien des cas, ils déconsidèrent la démocratie représentative. »
Ne pas admettre ce raisonnement, car c’est accepté que celui qui n’est pas d’accord et minoritaire peut dénier toute valeur à l’avis du plus grand nombre. Certes, la démocratie n’est pas parfaite, mais son contraire, c’est la dictature, qu’elle soit noir, rouge ou verte !

Theron

02/02/2016 10h00

Une autre Zad, un peu vite oubliée, le Larzac il y a 40 ans. Dans cet article, on dirait qu’il n’y a quasiment que de gentils aménageurs mais dans les faits les collusions politiques et financières sont multiples. A Agen, le président de la communauté d’agglo est totalement corrompu, qui plus est il a organisé un système mafieux pour s’approprier les terres agricoles à moindre frais pour ensuite les transformer en zone constructible et les revendre à prix d’or… Quant à l’aéroport de NDDL, il serait plus petit que l’actuel, donc pourquoi en faire un autre ? Plus de 80% de la population autour de la zone est opposée à cet aéroport, où est la démocratie ? Il serait temps d’arrêter d’aménager, juste temps de ré-aménager l’existant et surtout que la démocratie soit réelle. Une enquête publique n’est que consultative, et en plusieurs décennies, à l’exception du Larzac, quasiment tous les projets ont été imposés.

Michel

02/02/2016 10h18

Pourquoi une autre ZAD n’est pas créée dans le secteur de l’actuel aéroport pour éviter les aménagements et protéger ainsi les zones Natura 2000 en périphérie.

Rémy PETIOT

02/02/2016 10h27

Le discours des parlementaires et des élus locaux (souvent les mêmes) sur la concertation est contradictoire: ils annoncent toujours plus alors que par les législations qui se succèdent, c’est en réalité une restriction qui s’opère (on laisse le choix de concertation ou non selon les projets, on limite les études d’impact, on enlève toute possibilité de contestation juridique sur ses modalités etc..) Le plus bel exemple est le cavalier législatif quia déclaré d’intérêt général tous les travaux sur des stades (et leurs accès) en vue de l’Euro 2016 avant la tenue des enquêtes publiques. La concertation dans ce cas n’est qu’une formalité et la procédure d’enquête publique ne peut être utilement et judicieusement contestée. Bel exemple d’absence totale de démocratie dictée par Ll’UEFA et les élus à son service.

Marc PASCAL

02/02/2016 10h55

j’attire votre attention sur les PROPOSITIONS formulées par un collectif national regroupant tous les opposants aux Grands Projets Inutiles pour garantir la démocratie participative ….et surtout une vraie et juste définition de l’utilité publique des dits projets d’aménagement. (présentées au séminaire sur la « démocratie environnementale » institué par F. Hollande suite au décès tragique de Rémy Fraisse à Sivens… Propositions disponibles sur les sites internet contre le Lyon Turin, NDDL … et que je tiens à votre disposition si vous souhaitez faire un article documenté sur les manières de concerter avant et pendant les projets…)
Votre article n’évoque qu’à la marge ce « détail » important: si les programmes d’aménagement sont vivement contestés c’est parce que leur utilité publique est « forcée » et….en réalité moins que probante. L’utilité publique au sens du droit et l’intérêt général sont devenus 2 choses différentes…cherchez l’erreur…

Mirlot

02/02/2016 12h00

La démocratie est devenue une espèce en voie de disparition. La finance dictant ses lois aux politiques et donc à l’intérêt gènéral. Alors logique que le citoyen, frustré par cette situation se révolte, ne croit plus aux élections et préfère agir dans des mouvements de protestation. J’étais Maire moi même d’un petite commune de la Manche, confrontée à un grand projet inutile imposé, j’ai demandé le respect de nos lois, on m’a proposé de l’argent pour ma commune. J’ai refusé et j’ai èté mis en garde à vue… J’ai donc dèmissionner ne voulant plus servir cette parodie de démocratie !

jjjj

02/02/2016 03h40

Vous oubliez que la majorité des projets destructeurs de l’environnement sont basés sur de dossiers truqués:
Nous attendons toujours de la DCGAC les documents permettant de comprendre le calcul Coût-bénéfices de Notre Dame des Landes. Il ne s’agit plus de transparence mais de mensonge.
De plus, le mitage du territoire fait que seules les zones protégées deviennent facilement les lieux de construction de » contournantes de ponts,… détournant ainsi complétement le sens des mises en protection. La notion d’Utilité publique où l’état est juge et partie doit être remise en cause.

phase3

03/02/2016 09h33

Pourquoi ne pas évoquer le #LyonTurin et la lutte des #NOTAV dans cet article ?

jeanne

03/02/2016 12h05

Il serait bon, à propos de NDDL, de se demander aussi ce que ferait Airbus dans le cas où Nantes Atlantique disparaissait (c’est bien ce que veulent les partisans du projet ?).
Il me semble bien avoir lu quelque part qu’un aéroport lui est indispensable (normal !).
Mais, alors, il y aurait toujours un survol de Nantes, près de la zone Natura, et qui paierait l’entretien de cet aéroport ? Qu’en pense Michel, qui a l’air de s’inquiéter pour la zone Natura. Et surtout j’aimerais bien que Mrs Retailleau, Grosvalet et Vaugrenard, entre autres, nous disent ce qui est prévu pour Airbus … Une délocalisation peut-être ?

Clémence

12/02/2016 02h38

Je me pose la question de la réalité des créations d’emplois promise par les défenseurs des projets…Bien souvent les entreprises en charges des travaux ont recours aux travailleurs détachés, donc pas d’emplois réellement créés, juste une promesse mais l’argent lui rentre bien dans les caisses.

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