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culture

« Face aux censeurs, les élus reculent par ignorance »

Publié le 13/03/2015 • Par Hélène Girard • dans : Actualité Culture, Dossiers d'actualité, France

Emmanuel Latreille, © Luc Jennepin
Emmanuel Latreille, © Luc Jennepin D.R.
Créé en 2003, sous l’égide de la Ligue des droits de l’homme, l’Observatoire de la liberté de création constate une augmentation des cas de censure artistique et culturelle, notamment dans les collectivités. Rencontre avec Emmanuel Latreille, membre de cet observatoire, vice-président de la Fédération des professionnels de l’art contemporain (CIPAC), et directeur du Fonds régional d'art contemporain (Frac) de Languedoc-Roussillon.

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Quels sont les objectifs de l’Observatoire de la liberté de création ?

Nous tentons de dénouer les cas de censure en les retournant en situation de débat. Il s’agit de faire comprendre qu’une œuvre d’art ne peut pas être interdite, mais qu’elle peut donner lieu à des discussions libres entre ceux qui l’apprécient et ceux qui ne l’apprécient pas. C’est ce qui fait la richesse d’une démocratie. Concrètement, nous contactons ceux qui veulent interdire, et nous proposons des rencontres et une médiation. Cela marche quelques fois. Il arrive aussi que nous nous heurtions à des situations bloquées. Dans ces cas-là, il faut tenter de faire respecter le droit, quand il y a visiblement une atteinte à la liberté fondamentale de l’artiste.

Comment travaillez-vous ?

Nous sommes en communication permanente et nous alertons les uns les autres. Nous appelons les personnes impliquées, les collègues. Nous adressons des courriers, et avant de les rendre publics, nous nous efforçons de comprendre la ...

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Commentaires

« Face aux censeurs, les élus reculent par ignorance »

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François

14/03/2015 10h15

Il me semble que ce discours soit bien condescendant et doctrinaire. On parle d’élus qui n’ont pas assez d’envergure culturelle, de dérive populiste. Il faut soutenir ceux qui travaillent à éduquer les masses laborieuses à la culture…. moderne.
Dire  » une œuvre d’art » ne peut être interdite est faux. Certaines expressions sont bien interdites comme contraires à la loi. Imaginez des films faisant l’apologie du terrorisme sous prétexte d’art…
Sous prétexte d’art, de création. bien des provocations sont faites. Tant qu’elles vont dans le sens du courant dominant de la gauche elles sont tolérées. Quant elles heurtent les biens pensants on trouve prétexte pour interdire.
Qui a réagi pour défendre la diffusion du film l’apôtre ? Film libre et non financé par l’argent public ?
Pourtant ce film a plus fait en ce qui me concerne pour me rapprocher des Français de confession musulmane que tous les discours creux et menaçants du gouvernement.
Dans l’art comme dans toute chose, on n’est pas libre de tout exprimer. La liberté s’arrête là où commence celle des autres. Sinon c’est le règne du moi égoïste qui a le droit de tout exprimer, et imposer aux autres avec de l’argent public, sans respect pour les convictions des autres. Que des mécènes montent leurs galeries et financent des œuvres modernes provocantes, c’est leur affaire. Qu’on impose aux maires de tolérer et financer les œuvres en question, c’est une autre affaire. Sinon je vais m’autoproclamer artiste et imposer par mes copains à mon Maire d’exposer mes productions qui seront d’autant plus géniale que le peuple si méprisé y comprendra moins ce que cela a d’artistique….

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