Les pressions sur les bibliothécaires restent un risque permanent

L’argumentation – ici en l’espèce complètement subjective et sous entendant un accueil favorable aux pro-déviances morales et éthiques, dans l’espace public – rédigée par l’auteur de cette brève, Madame GIRARD; s’effondre d’elle-même, dès le rappel de l’Art. 5 mentionné, qui traite des politiques documentaires : « doivent être exemptes de toutes formes de censure idéologique, politique ou religieuse ou de pressions commerciales « .
Car il est donc explicite dans cet article de Loi, que tout démarchage des idéologies agressives actuelles (Wokisme, Lobby LGBT & xyz, annihilations de l’Histoire ou autres mouvances hostiles, voire racistes et criminogènes, tels les BLM racialistes), ayant comme objectifs déclarés de viser les petits enfants pour (sur lesquels toutes les idéologies passent mieux, puisque ces derniers n’ayant à trois, six, voire sept ans, pas encore formé leurs perspectives distanciées, défenses propres et jugements salutaires et critiques) n’ont pour principe que la décomposition de la société saine et ordonnée, traditionnelle et civilisatrice et prioritairement normaliser la dysphorie du genre qui est à la base un trouble, très majoritairement passager de l’enfance.
Des principes humanistes universellement partagés, qui avaient depuis la nuit des temps et jusqu’ici, naturellement protégè l’enfance, le jeunesse, et les individus fragiles de tous travers décadents, pervers et dévastateurs (pédophilie, prostitution, suicides, maladies mentales, mutilations et opérations chirurgicales dues aux désordres psychiques non contrôlés voire soutenues et promues par les idéologies mortifères sus – mentionnées, etc.).
En un mot comme en cent : On utilise le temps de la mise en place de l’approche des stages de prépuberté et de la perception de l’identité sexuelle naturelle des plus jeunes, pour la bouleverser et rendre problématique pour la suite la distinction fondamentale et légitime de notre espèce, entre homme et femme.
Toutes ces menaces sur la famille nucléaire, l’équilibre de l’Humanité et sa pérennité, qui sont majoritairement exportées des cercle universitaires Démocrates des EUA, via la digestion contemporaine des conséquences désastreuses des orientations soutenues en leurs temps par Magnus Hirschfeld l’allemand, et nos nationaux Simone de Beauvoir, Sartre, Derrida et quelques autres.
Une épidémie dévastatrice plus que cinquantenaire, qui porte l’amer et ironique nom de « French Theory » .

Il est comme dernier et impératif espoir de réparations et corrections de ce nauséabond logiciel idéologique ambiant, que de souhaiter : Que la Résistance, qui peu à peu s’affirme de la part des parents États-Uniens, et bien encore trop timidement en France, de la part des familles naturelles et des Municipalités responsables et lucides, puisse progresser/augmenter et s’affirmer rapidement. En s’alliant de plus, avec les autres continents de notre planète, où les populations rejettent ultra majoritairement ces dangers et déséquilibres sociétaux, et finisse ainsi par gagner cette lutte contre la décomposition accélérée de nos civilisations occidentales/européennes.

L’Espoir fait vivre, préservons-le !

que les bibliothèques et les élus s’en réfèrent à l’article 103 de la loi NOTRe à propos du respect des droits culturels. Le sujet est très sensible bien sur que les bibliothèques devraient être souveraines, mais si cette notion de droits culturels est fragilisée par un tel évènement…la question devient délicate. Le contexte actuel permet de dire que la maladresse est très vite arrivée, et le sujet n’est pas à prendre à la légère…tout dépend de la manière…