La CAA de Nantes annulait, en avril 2024, le RLPI de Brest mĂ©tropole. En première instance, devant le tribunal administratif de Rennes, les deux entreprises de publicitĂ© Ă l’origine du recours, Cocktail dĂ©veloppement et Pixity, avaient perdu. Mais la CAA de Nantes a estimĂ© « que les dispositions du RLPI, qui interdisent tous les dispositifs numĂ©riques, portent une atteinte disproportionnĂ©e Ă la libertĂ© du commerce et aux règles de la concurrence, ainsi qu’à la libertĂ© d’expression ». Depuis, Brest mĂ©tropole s’est Âpourvue en cassation devant le Conseil d’Etat. Cette dĂ©cision fait Ă©cho Ă de nombreuses procĂ©dures en cours, certaines entreprises de publicitĂ© attaquant de manière quasi systĂ©matique les RLPI, notamment sur les restrictions aux dispositifs numĂ©riques : Bourges, OrlĂ©ans ...
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Gazette des Communes
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Affichage publicitaire : ces villes qui ne tombent plus dans le panneau
Sommaire du dossier
- Ces villes qui ne tombent plus dans le panneau
- Comment les intercommunalités s’emparent des règlements locaux
- Affichage publicitaire : devant les tribunaux, des décisions plutôt en faveur des collectivités
- Anne Davy : « Il est essentiel d’intégrer les annonceurs locaux dans la concertation »
- Affichage publicitaire : encadrer, oui, mais comment ?
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