« Fin du contrat de naming du stade, difficultés des Girondins… tous les risques identifiés à la signature du partenariat public privé (PPP) en octobre 2011 sont aujourd’hui une réalité et nous avons à les absorber », se désole Christine Bost, présidente de Bordeaux Métropole (28 communes, 843 700 hab.).
La relégation du club de football bordelais en quatrième division (qui versait jusqu’alors 4,7 millions d’euros annuels pour y jouer) a grevé la situation financière déjà fragile du PPP, qui lie Bordeaux Métropole, propriétaire du stade Matmut Atlantique et SBA (Stade Bordeaux Atlantique, filiale des entreprises Vinci et Fayat), la société qui l’exploite en dehors de son utilisation par le club. L’annonce il y a quelques semaines par le groupe Matmut du non renouvellement de son contrat de ...
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Grands stades : atout ou charge pour les collectivités ?
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Sommaire du dossier
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- Affaire Madonna : la ville de Marseille condamnée à verser 500 000 euros à l’OM
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