L’affaire est entendue. La dissolution, contrairement à son objectif premier, n’a pas permis de clarifier le paysage politique. Aucun des trois principaux blocs n’approche de la majorité absolue.
Un « grand méchant flou » qui ne laisse pas d’inquiéter les collectivités territoriales, partenaires numéro un de l’Etat et des pouvoirs publics parisiens. « Il est pourtant urgent de changer de cap sur l’aménagement du territoire et les services publics pour répondre à la profonde fracture du pays et aux cris de désespoir de nombreux électeurs, révélés par ce vote », estime André Robert, délégué général de l’Association des petites villes de France. « Nous sommes prêts pour cela à discuter avec tous les partis, en commençant par ceux qui ont des élus ...
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Gazette des Communes