Cinq ans après la création de l’observatoire, à quel point l’éthique publique a-t-elle progressé et quel a été votre rôle ?
Oui, la situation a progressé. Evidemment il y a beaucoup de domaines où il y a des progrès à faire. Mais nous avons pu pousser pour un certain nombre d’améliorations. Au niveau local, nous avons obtenu que les élus locaux puissent faire appel à un référent déontologue, le décret est sorti début décembre. Nos parlementaires ont également contribué au fait que le nouveau Conseil économique, social et environnemental se préoccupe désormais de déontologie. On se rend compte que les positions disons, responsables défendues par l’observatoire sont écoutées.
C’est aussi dû à nos spécificités. Nous travaillons de concert entre chercheurs et parlementaires, nous essayons de ...
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