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Finances locales

Budget 2023 : le retour du contrat de confiance sème la zizanie

Publié le 03/11/2022 • Par Romain Gaspar • dans : A la une, A la Une finances, Actu experts finances, France

Assemblée Nationale
Richard Ying et Tangui Morlier via Wikimedia commons 3.0
Elisabeth Borne a de nouveau bloqué le vote des parlementaires sur le projet de loi de finances mercredi 2 novembre. Seulement une vingtaine d'amendements des oppositions ont été conservés sur la partie "dépenses" dans la version post 49-3 de l'exécutif. Et les associations d'élus s'opposent à l'intégration du contrat de confiance dans le budget 2023.

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Cet article fait partie du dossier

PLF 2023 : Les collectivités face à l'inflation

Il n’y aura pas plus de débats sur la partie « dépenses » que sur la partie « recettes » du projet de loi de finances pour 2023 à l’Assemblée nationale. Mercredi 2 novembre, la Première ministre Elisabeth Borne a de nouveau eu recours à l’article 49, alinéa 3 de la Constitution pour faire passer l’ensemble du texte, alors que les débats ont été stoppés avant l’examen des crédits budgétaires des collectivités.
« Puisque les conditions d’un dialogue constructif ne sont plus réunies, puisque des mesures protectrices et attendues ont été balayées dans les débats, puisque le projet de loi est profondément dénaturé, nous devons réagir », a justifié Elisabeth Borne à la tribune.

Pas de débat sur les crédits ...

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PLF 2023 : Les collectivités face à l'inflation

Sommaire du dossier

  1. Guide des attributions de compensation : quelles règles applicables pour 2023 ?
  2. La loi de finances pour 2023 est parue au Journal officiel
  3. PLF 2023 : ce qu’il faut retenir pour les collectivités après l’adoption définitive
  4. Jean-René Cazeneuve : « J’ai été convaincu par l’abandon du contrat de confiance dans le PLF »
  5. PLF 2023 : Elisabeth Borne revient avec le 49-3 sur les avancées du Sénat
  6. « Contraindre les dépenses des collectivités en ce moment est inacceptable »
  7. Budget 2023 : le retour du contrat de confiance sème la zizanie
  8. Projet de loi de finances pour 2023 et programmation des finances publiques : les principaux points à retenir
  9. Budget rectificatif : les sénateurs renforcent les crédits pour les collectivités
  10. Filet de sécurité et hausse de la DGF, seuls survivants au 49.3
  11. Le deuxième budget rectificatif 2022 est paru au Journal officiel
  12. Gabriel Attal : « Après les contrats de Cahors, place aux pactes de confiance »
  13. PLF 2023 : les articles sur les collectivités locales à la loupe
  14. Comment va fonctionner « l’amortisseur électricité » au 1er janvier 2023
  15. Taxe d’habitation majorée pour les résidences secondaires de 4000 nouvelles communes
  16. Christophe Béchu : « La planification écologique ne se fera pas sans les territoires »
  17. « Je propose un nouveau filet de sécurité sur les dépenses énergétiques en 2023 »
  18. Derrière le pacte de confiance, le fantôme de Cahors
  19. Un budget rectificatif pour clarifier la répartition de la compensation du RSA
  20. Inflation : le décret sur le filet de sécurité laisse les élus locaux sur leur faim
  21. Pacte de méfiance plutôt que de confiance pour les associations d’élus

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Budget 2023 : le retour du contrat de confiance sème la zizanie

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HERMES

04/11/2022 09h48

Je ne partage pas le point de vue de M. David Lisnard quand il point sur Twitter « une atteinte grave à la libre administration des collectivités » et « au dialogue et à la confiance que l’AMF et le Gouvernement étaient en train de bâtir en ce début de quinquennat ».
Bien entendu, je ne suis pas d’accord avec les autres représentants d’élus sur leurs propos.

Il ne faut pas oublier que la liberté des collectivités locales est fixée par la loi donc par les représentants du Peuple au niveau national. Oublier ce principe démocratique va ainsi dans le sens d’une remise en cause de notre système démocratique.

Enfin, n’oublions pas que Mme Borne n’oublie pas de faire les yeux doux aux collectivités dans ce budget.
D’une part, elle ne remet pas en cause la méthode de revalorisation des bases des taxes foncières qui devraient donc augmenter mathématiquement d’environ 7% et peut-être un peu plus. Il est d’ailleurs étonnant que les élus d’opposition qui montrent leur détermination à défendre les classes moyennes n’aient pas remis en cause ce taux. Pour mémoire, la revalorisation des bases a été de 3,8% en 2022. Sur 2022 et 2023, le cumul sera donc de l’ordre de 11% (1,038 x 1,07). Les revenus ne vont pas connaître de telles évolutions. Ainsi, c’est la population qui va une nouvelle fois se serrer la ceinture!
D’autre part, quand on voit le nombre de points retenus pour les collectivités qui ne sont pas simplement anecdotiques, quel citoyen ne serait pas satisfait de la mise en place de telles mesures bénéficières le concernant?
Elle est même allée jusqu’à faire un clin d’œil aux élus concernés par « le maintien de la dotation Elus locaux (DEL) en cas de fusion de communes en communes nouvelles ». äs mal pour le maintien du pouvoir d’achat des élus concernés!

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