Dans la fonction publique, le concours reste la voie royale pour être nommé fonctionnaire. Censé garantir l’égal accès de tous aux emplois publics, ce mode de sélection est critiqué non pas sur le principe, mais sur les modalités d’organisation des épreuves et leur contenu. Taxées de trop académiques, voire ringardes, celles-ci serait déconnectées de la réalité des missions de service public qui attendent les lauréats. La critique n’est pas nouvelle. Depuis plusieurs décennies, différentes réformes ont progressivement simplifié et professionnalisé les épreuves. Et d’autres réformes seront nécessaires pour, comme le souligne Olivier Ducroq (lire ci-dessous), « répondre aux évolutions de la société ».
- Vite ...
[70% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Références
Cet article est en relation avec le dossier
Cet article fait partie du Dossier
Découvrir la fonction publique territoriale
Sommaire du dossier
- L’organisation de la fonction publique territoriale en 10 questions
- Les emplois de catégories active ou sédentaire en 10 questions
- Le travail à temps partiel dans la fonction publique késako?
- Le mécénat de compétences en dix questions
- Fonction publique territoriale : jours fériés et 1er mai, quel bonus sur votre salaire?
- La titularisation et le refus de titularisation des agents en 10 questions
- Les positions statutaires des fonctionnaires territoriaux en 10 questions
- Quiz. Etre candidat à un concours de la fonction publique territoriale
- Le droit de grève dans la fonction publique territoriale en 10 questions
- Etre candidat à un concours de la fonction publique en 10 questions
- Les règles de recrutement dans la fonction publique territoriale en 10 questions
- Le temps partiel thérapeutique kézako ?
Thèmes abordés
