Si la « théorie du ruissellement » ne fait toujours pas consensus chez les économistes, elle s’est imposée en à peine quelques années en politique, et tout particulièrement au niveau local.
Depuis que la Commission européenne et l’Etat ont fait des « coopérations territoriales » un des critères de certains de leurs appels à projets, les associations d’élus – urbaines comme rurales – martèlent, à chacun de leurs congrès que la richesse des métropoles devrait irriguer jusque dans leurs arrière-pays.
Et ce discours infuse, petit à petit. Si certains territoires urbains ont improvisé des Scot et autres « pôles métropolitains » réunissant un maximum d’élus autour de la table pour la photo, au risque d’en rester aux discours d’intention, d’autres… Lire la suite sur le site du Courrier des maires
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