Son nom n’est pas prononcé mais, à l’évidence, son ombre plane sur les journées de France Urbaine, ce 5 avril à Dijon. Au détour de son discours, le Premier ministre lâche que, grand prince, l’Etat a inscrit la ville d’Issoudun dans le Plan gouvernemental Action cœur de ville.
Un peu plus tard, Edouard Philippe se défend vigoureusement, au chapitre financier, de passer un « pacte léonin » avec les collectivités. Une formule qui, à l’instar du « supplice du garrot » qui serait infligé par l’Etat aux communes, fait partie des classiques du répertoire du premier magistrat socialiste d’Issoudun, André Laignel.
Le verbe haut pour défendre la cause des communes
Voici dix ans que le numéro deux de l’Association des maires de France (AMF) se pose en opposant au pouvoir central. De Nicolas Sarkozy à Emmanuel Macron en passant par François Hollande, il ne ménage pas les puissants.
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