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Conservation du patrimoine

Elus et ABF, la paix des braves

Publié le 11/06/2025 • Par Lucie Romano • dans : Actualité Culture, France

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Elus et opérateurs de la ville ont souvent du mal avec les architectes des Bâtiments de France (ABF) qui arrivent en fin de projet et s’opposent régulièrement aux opérations, arrêtant des mois de travail et de discussion. Pourtant, leur rôle est indispensable pour protéger le patrimoine. Bien s’accorder de part et d’autre est l’une des pistes à exploiter.

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En fait-on vraiment trop pour le patrimoine ?

Ils ne sont que 189, mais les architectes des Bâtiments de France (ABF) se font rarement oublier. Particuliers, opérateurs et collectivités doivent composer avec eux quand leur bien est situé dans un espace protégé. L’avis des ABF doit être conforme pour la délivrance d’une autorisation d’urbanisme et un refus tombe, tel un couperet. Mais même lorsque l’avis est favorable (ce qui est fréquent), il peut être assorti de prescriptions. Un « oui mais » susceptible d’entraîner des surcoûts. Cela vaut à ces fonctionnaires, garants de l’intérêt général patrimonial, d’être ­considérés comme des empêcheurs de projets.

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