Fermer

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Menu

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

[entretien] probité

« L’approche selon laquelle tout le monde est un représentant d’intérêts a été jugée excessive »

Publié le 11/12/2024 • Par Martin Delacoux • dans : Actu Expert, France

Maître Samuel DYENS, avocat au barreau de Nîmes
C. ALMODOVAR / LA GAZETTE
L’avocat Samuel Dyens revient sur une décision du 24 octobre du Conseil d’Etat, qui remet en question le fait de considérer par principe les cercles de réflexion, dits «think tanks», comme des lobbies.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

La décision du Conseil d’Etat qui annule les « lignes directrices » adoptées par la HATVP constitue-t-elle un retour en arrière ?

Je ne serais pas aussi négatif que certains. D’abord, le Conseil d’Etat confirme, avec cette décision, que les recommandations, ou les « lignes directrices », peuvent faire l’objet d’un recours au contentieux administratif. C’est un point important à rappeler.
Il ressort également de cette décision un fait qu’il n’aurait jamais fallu perdre de vue : un représentant d’intérêts défend… un intérêt. Evidemment, une association ou un cercle de réflexion, comme l’Institut Montaigne, a un avis. Cependant, il y a une différence entre influencer le débat public et influer sur la décision publique.

L’approche qui consiste à dire que tout le monde est un représentant ...

[70% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Gazette des Communes

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Découvrez nos formules et accédez aux articles en illimité

Je m’abonne
Réagir à cet article
shadow
marche online

Aujourd'hui sur les clubs experts gazette

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

« L’approche selon laquelle tout le monde est un représentant d’intérêts a été jugée excessive »

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement