A la faveur des réglementations successives (loi « Sapin 2 » de 2016 sur la lutte contre la corruption, réforme au 1er janvier 2023 de la responsabilité des gestionnaires publics…), mais aussi des recommandations d’organismes externes (chambres régionales des comptes, Agence française anticorruption , etc.), les collectivités territoriales ont commencé à s’emparer de la cartographie des risques.
Si l’exercice fait son chemin dans les plus grandes, il peine encore à s’imposer partout. Après plusieurs années de progression (+ 26 points entre 2013 et 2019), son déploiement se stabilise, selon le baromètre 2021 de la maîtrise des risques au sein des collectivités territoriales. Cette étude, publiée par le cabinet de conseil spécialisé en gestion des risques Arengi, en partenariat avec la ...
[90% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Cet article fait partie du Dossier
Comment cartographier les risques pour mieux les prévenir
1 / 10
article suivantSommaire du dossier
- La cartographie des risques, un outil à apprivoiser
- Cartographie des risques : quand mutualiser devient une nécessité
- Cartographie des risques : l’anticipation d’aujourd’hui, un rempart pour demain
- Les outils pour prendre la compliance au sérieux
- La compliance, une politique globale de gestion des risques au sein de l’action publique
- La compliance, une nouvelle gestion des risques juridiques
- Se former à la compliance, mode d’emploi
- Organiser le contrôle interne dans le cadre de la compliance en 5 étapes
- Compliance : la communication, un levier de réussite
- Prévenir les conflits d’intérêts dans les établissements sociaux et médicosociaux
Thèmes abordés