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Transports

Les bus à hydrogène ont fait leurs preuves mais ne correspondent pas à tous les besoins

Publié le 09/11/2023 • Par Anne-Claire Poirier • dans : actus experts technique, France, Innovations et Territoires

Un bus à hydrogene de Pau
Communauté d'agglomération Pau Béarn Pyrénées
A Pau, la principale ligne de bus a été convertie à l’hydrogène en 2019. Les véhicules circulent grâce à ce carburant produit localement à partir d’électricité. Ils ont transporté cinq millions de passagers sur un million de kilomètres et ont permis d’éviter plus de 1 000 tonnes de CO2. Mais les progrès des bus électriques et la crise rebattent les cartes.

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En septembre 2019, Pau inaugurait la première ligne de bus à hydrogène du pays et sa station-­service attenante, dédiée à la production de ce carburant vert obtenu par électrolyse de l’eau. Quatre ans après, « on a montré que cela pouvait marcher », résume, avec une pointe de soulagement, ­Jérémie ­Neillo, chef d’exploi­tation des transports publics de la communauté d’agglo Pau Béarn Pyrénées. Les huit bus à haut niveau de service – bientôt rejoints par quatre autres – sont solidement installés dans le paysage palois. L’itinéraire de six kilomètres entre l’hôpital et la gare constitue la colonne vertébrale du réseau et ces bus assurent le service 99 % du temps.

D’autres indicateurs montrent la réussite du projet : les bus ont parcouru plus d’un million de kilomètres et transporté cinq millions de passagers, tout en évitant l’émission d’un millier de tonnes de CO2. En coulisses, « cela reste une aventure au ­quotidien », tempère ­Jérémie ­Neillo. Les ­technologies sont nouvelles et tout le monde essuie les plâtres. « La station de production a plus de problèmes que prévu et les bus ont plein de toutes petites pannes. Quant à moi, j’y passe les trois quarts de mes journées alors que ...

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Commentaires

Les bus à hydrogène ont fait leurs preuves mais ne correspondent pas à tous les besoins

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KUHSTOHS64

18/11/2023 03h16

Quelques mots d’aveux enfin … mais aussitôt effacés par des  » Nous avions fait le bon choix  » ou des chiffres faux ou incomplets . La maintenance des stations et des bus c’est 720000€/an + 272000€ d’amortissement sur 15 ans d’une construction d’un atelier spécifique H2 au normes ATEX et des aménagements fonciers normesICPE + 2,5 ETP en interne et le gardiennage nocturne rendu obligatoire du site = 200000€ + un surcoût annuel assurantiel de +172000€ + 40000€ de certificats d’énergie afin de verdir l’électricité nucléaire + les surcouts d’approvisionnement par camions citerne lors des pannes de la station qui jusqu’à l’été 2023 à été pris en charge par le constructeur exploitant et ne le seront plus vu la réception officialisée désormais, + le surcoût du prix de l’électricité reconnu dans l’article, nous sommes en vérité autour de 1,2M€ de surcoûts annuels et non 900000€ de coûts annuels…

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