Aux assises nationales de la qualité de l’environnement sonore, un atelier animé par Philippe Maraval, chef de la mission « bruit et agents physiques » au ministère de la Transition écologique, a fait le point sur les développements de l’expérimentation des radars sonores. Pour rappel, cette expérimentation, prévue par la LOM du 24 décembre 2019, a été lancée dans sept collectivités (Bron, Paris, Rueil-Malmaison, Villeneuve-Le-Roi, de celles appartenant à la communauté de communes de la haute vallée de Chevreuse, de la métropole de Nice et de la métropole de Toulouse) par un décret du 3 janvier.
- Paris a installé son premier radar anti-bruit
Cette expérimentation doit durer deux ans. Mais lors de l’atelier, Philippe Maraval n’a pas exclu la possibilité de demander au législateur de prolonger le délai accordé.
Le calendrier
Si c’est un décret du 3 janvier 2022 qui a officiellement lancé l’expérimentation, les préparatifs ont débuté ...
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Bruits : Les collectivités ne peuvent plus faire la sourde oreille
Sommaire du dossier
- Les collectivités ne peuvent plus faire la sourde oreille
- Des villes plus denses synonymes de vacarme ?
- Robin Reda : « La lutte contre le bruit est l’une des plus anciennes politiques écologistes »
- Nuisances sonores : « Il y a un vrai travail de toilettage des arrêtés municipaux à faire »
- Où en sont les expérimentations de radars sonores ?
- Bruit dans les logements sociaux : « Il ne faut pas renvoyer la faute aux locataires »
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