A ce jour, les 50 potagers créés mi-juin par le Seve de la ville de Nantes ont produit six tonnes de courgettes, tomates, choux et blettes, complétés, au début de l’automne, par des courges, pommes de terre, haricots secs, patates douces et potimarrons, pour un total de 16 tonnes.
Quelle mouche a donc piqué le Seve ? « Lorsque le premier confinement a été déclaré, les semis d’annuelles dans nos serres étaient réalisés, mais nous n’avons quasiment pas pu rempoter, l’essentiel du personnel ayant alors été arrêté », explique Franck Coutant, paysagiste et responsable « événements » au Seve. D’où l’idée d’implanter dans les massifs habituellement réservés aux annuelles des légumes, d’autant que le CCAS avait commencé des distributions alimentaires mais sans légumes.
Au retour du ...
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Gazette des Communes, Club Santé Social
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