Pascal Asselin, président de l’Union nationale des économistes de la construction, évalue, dans une interview donnée au « Point » le 24 avril, la facture de la remise en état de Notre-Dame de Paris entre 300 à 600 millions d’euros. Soit bien moins que le milliard d’euros promis par les donateurs. Faut-il d’ores et déjà affecter le surplus ? Ouvert par les députés, dans le cadre du projet de loi sur la remise en état de Notre-Dame de Paris en cours d’examen au Parlement, le débat suscite des propositions variées.
Mais le gouvernement freine des quatre fers, arguant de l’incertitude de cette profusion d’argent. Position partagée par la Fédération nationale des collectivités territoriales pour la culture. « Dans quel monde vit-on à vouloir distribuer un excédent sur lequel il n’y a aucune ...
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Gazette des Communes
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