Ce devait être une explication de texte faisant suite aux annonces de la veille du Président de la République. Mais face aux maires franciliens, mardi après-midi au salon de l’association des maires d’Ile-de-France (AMIF) à Paris, Julien Denormandie n’a pu assurer le service après-vente convenu, faute d’intervention préalable du chef de l’État.
Bien qu’il ne se soit laissé aller à aucune confidence et n’ait rien laissé transparaître de sa connaissance des mesures à venir, le ministre de la Ville et du Logement ne s’est pas défilé et a assuré la prestation, face à des maires un peu courts en arguments, de fait.
Aux côtés de Stéphane Beaudet, maire d’Evry-Courcouronnes (Essonne) et président de l’AMIF et de Jacques Drouhin, maire de Flagy (Seine-et-Marne) et référent de la commission ruralité au sein de l’AMIF, il a dit son attachement au fait que les contributions au Grand débat laissent apparaître le constat que
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Gazette des Communes
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