« Même celles qui ont voté leur budget en décembre n’ignoraient rien de ce qui se tramait, en tout cas dans les intentions de régulation du gouvernement », assène Olivier Nys, directeur général des services (DGS) de la métropole de Lyon (Rhône, 59 communes, 1,3 million d’hab.).
L’évolution des dépenses à 1,2 %, +0,15 à 0,45 % si elles peuvent faire prévaloir l’un ou plusieurs des trois critères d’octroi d’un bonus, a par conséquent été en ligne de mire. Bordeaux Métropole (Gironde, 28 communes, 773 500 hab.) affiche même une baisse d’1,4 % de ses dépenses de fonctionnement. Mais toutes n’y sont pas parvenues. « Après avoir diminué tout ce qui pouvait l’être, nous sommes arrivés à périmètre constant à une progression de nos dépenses d’1,38 %, alors que nous devrions être
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Gazette des Communes, Club Finances
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Budgets primitifs 2018 : le défi de la contractualisation financière
Sommaire du dossier
- La Métropole du Grand Paris au bord de l’asphyxie budgétaire
- Les régions votent pour retrouver une stabilité
- Départements : encore et toujours le poids des dépenses sociales
- Les métropoles gardent l’œil sur les dépenses de fonctionnement
- Budgets 2018 : le bloc communal face à des choix cornéliens
- Quelques infos fiscales utiles à la préparation des budgets primitifs locaux pour 2018
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