Lors des rencontres nationales de la participation organisées à Lille les 6, 7 et 8 mars, l’enquête publique a été défendue par la Compagnie nationale des commissaires enquêteurs. Le 8 mars, lors d’un atelier consacré à la dématérialisation de l’enquête publique, Brigitte Chalopin, sa présidente, est montée au créneau en rappelant son bien-fondé et la place légitime qu’elle occupe dans les dispositifs de participation du public.
Critiques récurrentes
Sauf que l’enquête publique a mauvaise presse et fait l’objet, depuis plusieurs années, de multiples attaques. Ses détracteurs lui reprochent principalement d’être trop technique, voire ésotérique. Et la participation du public s’en ressent puisque ces enquêtes ne mobilisent pas les foules. Un désintérêt qui s’explique également par l’absence ...
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