Un mois après le coup de gueule des élus de banlieue lors des Etats-généraux de la politique de la ville, le président de la République est donc sorti de son silence pour fixer la feuille de route de « sa » politique de la ville.
Une intervention attendue par les élus et les professionnels des quartiers prioritaires, qui n’ont cessé d’enchaîner les mauvaises nouvelles depuis cet été. En juillet, un décret publié en catimini entérinait dans le même temps une coupe sombre dans certaines dotations aux collectivités et un coup de rabot de 11% dans l’enveloppe dédiée aux contrats de ville.
Une autre polémique éclatait à la rentrée, avec la réduction drastique des contrats aidés et l’annonce de la diminution des APL de 50 euros.
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