La réduction de moitié des baisses de dotations pour le bloc communal a sans conteste apporté un ballon d’oxygène aux métropoles. Plus pérenne, le dynamisme fiscal affiché par plusieurs de ces collectivités accentue cette tendance, et ce alors même que la stabilité des taux des impôts locaux décidée en début de mandat n’a pas été remise en cause , à l’exception de l’eurométropole de Strasbourg dont les taux progressent de 1,5 % cette année.
Recettes fiscales dynamiques
À Brest métropole par exemple, les recettes évoluent globalement à taux constant de 1,4 % malgré la baisse des dotations. « Les impôts ménage progressent de 2 %, tout comme la CFE tandis que la CVAE – qui reste très fluctuante – connaît une évolution favorable de 5 à 10 ...
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Budgets primitifs 2017 : les services publics à l'épreuve de la rigueur
Sommaire du dossier
- Budgets primitifs 2017 : une circulaire balise l’élaboration
- Les régions face à l’équation de leurs nouvelles compétences
- La gestion de crise s’installe dans les départements
- Métropoles : une relative (et conjoncturelle) sérénité financière
- Les intercommunalités digèrent leurs fusions
- Métropole du Grand Paris : encore trop peu de marges de manœuvre
- [Carte interactive] Les budgets des métropoles pour 2017
- Budgets primitifs : les communes en mal de repères financiers
- Bien préparer son budget primitif 2017 !
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