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Réforme de l’Etat

La modernisation de l’action publique se veut moins brutale que la RGPP

Publié le 18/12/2012 • Par avec l'AFP Agathe Vovard Romain Mazon • dans : A la une, Dossiers d'actualité, France, Toute l'actu RH

Comité interministériel pour la modernisation de l'action publique
Le Comité interministériel pour la modernisation de l'action publique du 18 décembre prévoit 3 chantiers déclinés en 50 mesures Pierre Chabaud/Matignon
Le gouvernement a lancé mardi 18 décembre 2012 l'évaluation, dès 2013, de 40 politiques publiques, souvent très sensibles, pour améliorer leur efficacité mais aussi, voire surtout, permettre de tenir les objectifs draconiens de réduction des dépenses publiques. La "modernisation de l'action publique" (MAP) succède ainsi à la controversée RGPP. Le mouvement open data est conforté, le gouvernement réaffirmant le principe de gratuité de la réutilisation des données publiques, en concertation avec les collectivités locales.

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MAP : moderniser pour économiser ?

A l’issue du premier comitĂ© interministĂ©riel de modernisation de l’action publique (Cimap), qui se rĂ©unira tous les trois mois, le Premier ministre a lancĂ© ce vaste chantier pour un « Etat stratège » qui lutte contre « l’usure », « la sĂ©dimentation » et « l’inadaptation » de certaines politiques publiques.

Tous les acteurs publics – « Les Français attendent que tous les acteurs publics », Etat, opĂ©rateurs, collectivitĂ©s locales et SĂ©curitĂ© sociale, « dĂ©pensent mieux et plus efficacement », a affirmĂ© Jean-Marc Ayrault, annonçant « trois grands chantiers », traduits dans 50 mesures.

Le premier est celui de la « simplification » de l’administration, avec des mesures concrètes comme la possibilitĂ© de demander les aides au logement entièrement en ligne mais aussi la suppression immĂ©diate de 100 commissions consultatives jugĂ©es inutiles.

Le deuxième chantier concerne « l’accĂ©lĂ©ration de la transition numĂ©rique ».

Evaluation des politiques sur l’ensemble du quinquennat – Mais le plus « dĂ©terminant » est le troisième : l’Ă©valuation de toutes les politiques publiques « sur l’ensemble du quinquennat », ce qui sera une « première » en France, a soulignĂ© le Premier ministre.
Dès 2013, 40 d’entre elles seront passĂ©es au crible.

Le dĂ©roulĂ© type d’une Ă©valuation de politique publique

La MAP de la gauche succède ainsi Ă  la RGPP de la droite, cette « rĂ©vision » rebaptisĂ©e « rĂ©duction » gĂ©nĂ©rale des politiques publiques par le Premier ministre, très dĂ©criĂ©e par de nombreux acteurs, des parlementaires aux agents eux-mĂŞmes.

Pas de norme aveugle – L’exĂ©cutif socialiste assure suivre une autre « mĂ©thode ». « Il n’y aura pas de norme aveugle », a assurĂ© le chef du gouvernement, raillant les « coupes budgĂ©taires uniformes » qui ont Ă©tĂ© selon lui « la seule règle » au cours des dix dernières annĂ©es.

Jean-Marc Ayrault a aussi indiquĂ©, s’agissant des normes concernant les collectivitĂ©s, qu’une mission devait ĂŞtre confiĂ©e Ă  Alain Lambert (1) et M. Jean-Claude Boulard, maire (PS) du Mans, chargĂ©e de proposer, avant mars 2013, une liste de normes qui seront abrogĂ©es.

Mission sur les normes concernant les collectivitĂ©s – Par ailleurs, la principale nouveautĂ© concerne la fonction publique : la RGPP s’Ă©tait rapidement rĂ©sumĂ©e au non remplacement d’un agent partant Ă  la retraite sur deux, alors que les effectifs seront globalement stabilisĂ©s sur ce quinquennat.

Mais malgrĂ© l’hommage appuyĂ© de M. Ayrault aux « valeurs » des fonctionnaires, les services publics seront mis Ă  contribution. C’est la traduction du voeu prĂ©sidentiel. « Nous devons ĂŞtre capables de faire mieux en dĂ©pensant moins », a affirmĂ© François Hollande mi-novembre, reprenant une antienne de son prĂ©dĂ©cesseur Nicolas Sarkozy.
Selon le Premier ministre, certaines actions devront ĂŞtre amĂ©liorĂ©es ou simplifiĂ©es. Mais pour d’autres, « des rĂ©formes plus structurelles apparaĂ®tront nĂ©cessaires », a-t-il estimĂ©.

Open data relancĂ© et principe de gratuitĂ© – Mis en sommeil avec le changement de majoritĂ©, et le dĂ©part de SĂ©verin Naudet de la tĂŞte de la mission Etalab, chargĂ©e de promouvoir l’ouverture des donnĂ©es publiques de l’Etat, l’open data est relancĂ© par le gouvernement. Le 7 dĂ©cembre, le gouvernement avait nommĂ© Henri Verdier, prĂ©sident du pĂ´le de compĂ©titivitĂ© Cap Digital, Ă  la tĂŞte de la mission Etalab.
Lors de ce Cimap, le gouvernement a rĂ©affirmĂ© le principe de gratuitĂ© de la rĂ©utilisation des donnĂ©es publiques, qui avait semblĂ©, un temps, remis en cause. Un principe qu’il prĂ©voit d’Ă©tendre, « en concertation », aux collectivitĂ©s locales. Si de nombreuses collectivitĂ©s se sont engagĂ©es dans l’open data, et si, en gĂ©nĂ©ral, elles ont fait le choix de la gratuitĂ©, l’autonomie de chacune d’entre elles sur le sujet pourrait en effet compliquer la tâche des rĂ©utilisateurs, ou freiner les usages citoyens.

En outre, ce principe de gratuitĂ© sera Ă©galement Ă©tendu, toujours « en concertation », aux dĂ©lĂ©gataires de service public, Ă  la sphère sociale, et aux autoritĂ©s administratives indĂ©pendantes.
Sous rĂ©serve des mesures concrètes dĂ©cidĂ©es Ă  l’appui de cette dĂ©marche, c’est donc une vĂ©ritable extension du mouvement de l’open data que choisit le gouvernement, en ne se limitant plus aux seules donnĂ©es de l’Etat strictement dit.

Ce mouvement devra Ă©galement servir la transparence de l’action publique, avec l’ouverture, en 2013, d’un dĂ©bat « sur la mise Ă  disposition des donnĂ©es en matière d’éducation, de risques environnementaux, de système de santĂ©, d’offre de transport et de logement et enfin de prestations sociales. L’implication des citoyens, des usagers et des agents dans la conception des politiques publiques et l’Ă©laboration des services publics sera favorisĂ©e ».

PlutĂ´t 15 Ă  16 milliards supplĂ©mentaires d’ici 2015 – Cela pourra permettre « de rĂ©aliser des Ă©conomies sans dĂ©grader leur efficacitĂ© ». Il a rappelĂ© que 10 milliards d’euros d’Ă©conomies supplĂ©mentaires devaient ĂŞtre rĂ©alisĂ©s en 2014 et 2015 pour financer le crĂ©dit d’impĂ´t pour la compĂ©titivitĂ© des entreprises.
En rĂ©alitĂ©, selon Bercy, il faudra 15 Ă  16 milliards supplĂ©mentaires d’ici 2015 pour financer Ă©galement des dĂ©penses nouvelles comme le coup de pouce au RSA ou la hausse Ă©ventuelle du budget de l’Union europĂ©enne.

En tout, sur l’ensemble du quinquennat, les dĂ©penses publiques, qui reprĂ©sentent 1 100 milliards d’euros par an, devront donc diminuer de plus 60 milliards. Elles n’augmenteront en moyenne que de 0,5 % par an en plus de l’inflation, contre 2,1 % au cours des dix dernières annĂ©es, selon des prĂ©visions durcies publiĂ©es mardi.

Parmi les premiers secteurs passĂ©s au crible l’an prochain figurent plusieurs politiques très sensibles et coĂ»teuses :

  • les aides Ă  la famille (60 milliards),
  • les 7 000 aides directes aux entreprises (80 milliards),
  • la gestion des prestations d’assurance maladie,
  • la territorialisation de la politique du logement,
  • ou encore la formation professionnelle des demandeurs d’emploi.

La dĂ©marche s’appuiera enfin sur les agents publics et les organisations reprĂ©sentatives des personnels, ainsi que les associations reprĂ©sentant les collectivitĂ©s notamment.
« Les discussions ouvertes en septembre dernier par la ministre en charge de la RĂ©forme de l’Etat dans le prolongement de la grande confĂ©rence sociale permettront de prĂ©ciser les modalitĂ©s du dialogue social qui accompagnera la modernisation de l’action publique. Elles doivent Ă©galement dĂ©finir des prioritĂ©s partagĂ©es pour amĂ©liorer les conditions de travail, moderniser les pratiques d’encadrement, enrichir et diversifier les parcours professionnels des agents publics », prĂ©cise le gouvernement dans le dossier de presse.

Premiers rĂ©sultats et dĂ©cisions d’ici juin – « Evaluer une politique, ce n’est pas vouloir la dĂ©truire », a enfin garanti M. Ayrault. Premiers rĂ©sultats, et premières dĂ©cisions, attendus d’ici juin.

Résumé des mesures qui intéressent les collectivités

ETAT CIVIL ET VIE CITOYENNE

  • Supprimer les demandes d’extraits d’acte d’Ă©tat civil pour les principales dĂ©marches, dont les demandes de pièces d’identitĂ©, grâce Ă  un Ă©change de donnĂ©es entre administrations.
  • Permettre Ă  l’usager de prĂ©parer en ligne sa demande de vote par procuration.
  • Permettre de crĂ©er, modifier et dissoudre son association loi 1901 par internet.
  • DĂ©velopper les titres pluriannuels de sĂ©jour : un projet de loi sera prĂ©sentĂ© au 1er semestre 2013.

LOGEMENT

Les demandes d’aide au logement pourront se faire entièrement en ligne, grâce Ă  l’envoi des pièces justificatives en format dĂ©matĂ©rialisĂ©. Ce nouveau dispositif devra ĂŞtre gĂ©nĂ©ralisĂ© « courant 2013 » après expĂ©rimentation auprès de trois CAF.

PERSONNES EN SITUATION DE PRECARITE

  • Mettre en oeuvre, dès le premier semestre 2013, la simplification des procĂ©dures de domiciliation arrĂŞtĂ©e dans le cadre du plan pluriannuel de lutte contre la pauvretĂ©.
  • Assurer une plus grande lisibilitĂ© et une plus grande rĂ©gularitĂ© des aides versĂ©es par les CAF pour limiter les flux d’indus et de rappels. Une mission de l’Igas est programmĂ©e au premier semestre 2013.
  • ExpĂ©rimenter en 2013, en Seine-et-Marne et en Loire-Atlantique, des mesures de simplification afin de rĂ©duire le non-recours aux prestations sociales des personnes en situation d’exclusion, Ă  l’issue d’une action conduite depuis novembre 2012 dans ces deux dĂ©partements.

HANDICAP

Poursuite de la dĂ©matĂ©rialisation des procĂ©dures et simplification des conditions d’attribution de la carte de stationnement.

NORMES

  • Garantir la qualitĂ© des normes nouvelles en gĂ©nĂ©ralisant les Ă©tudes d’impact pour l’ensemble des textes rĂ©glementaires et des textes transposant le droit communautaire.
    A l’instar du “test PME”, dont la mise en place a été arrêtée dans le cadre du séminaire sur la compétitivité, les consultations ouvertes “en ligne” préalables à l’élaboration des textes seront développées.
  • Limiter l’inflation normative : “une norme créée = une norme supprimĂ©e”. ConformĂ©ment aux orientations arrĂŞtĂ©es par le PrĂ©sident de la RĂ©publique, toute initiative ministĂ©rielle conduisant Ă  la crĂ©ation de normes nouvelles devra s’accompagner de l’abrogation d’un volume de normes Ă©quivalent. Le secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du Gouvernement veillera au respect de cette règle.
  • Simplifier les normes. Un programme pluriannuel de simplification des normes destinĂ© Ă  allĂ©ger le “stock” de normes existantes sera Ă©laborĂ© avant la fin du premier semestre 2013. Dès Ă  prĂ©sent, un travail est engagĂ© pour simplifier et allĂ©ger le droit de l’environnement. Des Ă©tats gĂ©nĂ©raux de la modernisation du droit de l’environnement seront organisĂ©s au printemps 2013.

NUMERIQUE

  • Favoriser l’égalitĂ© d’accès aux services publics sur le territoire en articulant efficacement les points de contact physiques et les supports numĂ©riques.
    Les offres numériques seront associées à une offre de présence territoriale d’ici juin 2013, grâce à un recensement effectué par chaque administration des dispositifs numériques d’accès à ses services. L’objectif est de mieux articuler les points de contact physique (guichets…) avec l’offre de services en ligne en tenant compte des besoins des citoyens.
  • Faciliter le travail des agents au contact du public. D’ici fin 2013, l’ensemble des bases de connaissances “mĂ©tiers” permettant de faciliter l’information et l’orientation des usagers seront mises en rĂ©seau pour amĂ©liorer l’efficacitĂ© des services d’accueil tĂ©lĂ©phoniques.

PERFORMANCE DE L’ACTION PUBLIQUE

  • Cent commissions consultatives « dont l’utilitĂ© n’est pas dĂ©montrĂ©e » seront supprimĂ©es « soit 15 % du total ».
  • Un baromètre global Ă  destination des usagers, particuliers, associations et entreprises » sera créé pour « mesurer la qualitĂ© du service public ». Marylise Lebranchu est chargĂ©e de proposer, pour le Cimap de mars 2013, un tel baromètre.

Références

Le dossier de presse complet

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MAP : moderniser pour économiser ?

Sommaire du dossier

  1. Quel avenir pour les services dĂ©concentrĂ©s de l’Etat ?
  2. [Frise interactive] Deux siècles de réforme de l’Etat
  3. L’Etat choisit ses capitales rĂ©gionales, et redĂ©ploie ses services dans les territoires
  4. Etat en régions : les élus locaux limitent la casse
  5. L’avenir de l’action publique : de l’attention, en attendant l’action
  6. L’Etat start-up n’est-il qu’un slogan ?
  7. SGMAP et collectivités locales remettent la démat’ en ordre de bataille
  8. La MAP Ă©conomise au moins autant qu’elle innove
  9. L’État plate-forme, vraie source de services publics innovants ou cache-misère ?
  10. Politiques publiques : “Le chiffre ne doit pas clore les débats, mais les ouvrir”
  11. « La MAP ne se rĂ©sume pas Ă  l’effort d’économies, pas davantage que les Ă©conomies ne se rĂ©sument Ă  la MAP »
  12. MAP : dans les collectivités, des idées mais peu de moyens
  13. Modernisation de l’Etat : contre le cost killing, innover, expérimenter
  14. Modernisation de l’action publique : la gouvernance par la donnée, une vieille nouveauté
  15. Le data scientist, oiseau en voie d’apparition dans la fonction publique
  16. Dessine-moi des data scientists
  17. La mutuelle de données de Lyon met les cartes du territoire en partage
  18. L’eldorado de la politique publique juste et rationnelle
  19. Pour Nicolas Matyjasik, « les sciences sociales permettent d’Ă©clairer le dĂ©cideur politique »
  20. Simplification administrative : un train de mesures avec quelques vieux wagons
  21. Gouvernance par la donnée, année zéro
  22. A Bercy, l’Etat s’interroge sur… la modernisation de l’Etat
  23. Le 4ème Cimap mise sur des Ă©conomies liĂ©es Ă  des « mutualisations dans le bloc communal »
  24. Malaise dans les services déconcentrés de l’Etat à la veille du 4ème Cimap
  25. 3ème Cimap et collectivitĂ©s territoriales : ce qu’il faut retenir
  26. 2ème CIMAP : amélioration de l’administration déconcentrée et gel des normes
  27. La modernisation de l’action publique se veut moins brutale que la RGPP
  28. Terra Nova dénonce une MAP pervertie

Notes

Note 01 Actuel président de la Commission consultative d'évaluation des normes, au sein du Comité des finances locales Retour au texte

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La modernisation de l’action publique se veut moins brutale que la RGPP

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ALIMAS

19/12/2012 07h05

(09A1852A01). UN CLOU CHASSE L’AUTRE… Le premier clou (RGPP) a ouvert la trajectoire en forçant le passage, ce qui permet Ă  la nouvelle majoritĂ© d’engager le deuxième clou (MPA). Mais ne vous faites pas trop d’illusions, amis fonctionnaires et contribuables, le changement de sigle ne doit pas cacher qu’il faut encore et toujours taper fort sur quelques tĂŞtes de clous, pour assembler, rassembler et coordonner efficacement et durablement les strates du (BFPP) : Bon Fonctionnement des Politiques Publiques. Bon courage Ă  tous !

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