Les 20 associations d’archivistes, bibliothécaires et documentalistes constitutives de l’Inter association archives-bibliothèques-documentation (IABD) ont fait, fin décembre 2016, le bilan du 2ème « camp » (1) qu’elles ont organisé le 11 octobre à Villeurbanne, dans les locaux de l’enssib. Un point d’étape mis en forme et diffusé par l’Association pour le développement des démarches numériques en bibliothèque (ADDNB). Objectif de ce « camp » : faire émerger les convergences en matière de pratiques professionnelles et de défis à relever.
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Des services garants et facilitateurs des droits culturels
Introduits en droit français dans la loi NOTRe du 7 août 2015 (article 103), les droits culturels (2) restent une notion floue pour nombre de professionnels de la culture.
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Dans ce domaine, les trois professions de l’information-documentation revendiquent un rôle de garant et de facilitateur. « Les services d’informations, d’archives et de documentation ont un rôle essentiel et stratégique dans les dispositifs des politiques publiques favorisant l’exercice des droits fondamentaux du citoyen à s’informer, à apprendre, à partager ses savoirs, à inventer ses usages et au final à construire une culture commune, diverse et apaisée », rappelle l’IABD. Une exigence identifiée comme une « responsabilité collective », un « socle du service public », « un rôle citoyen de premier plan ».
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