La demande a été exprimée mardi 10 au matin, lors d’une réunion syndicale, explique Hortense de Royer, DGA RH : « Les syndicats, et en particulier la CGT , nous ont dit que les agents des services de la propreté urbaine et de la nature en ville n’allaient pas bien, qu’il fallait leur laisser un temps de retrouvailles et d’échange, dans leurs locaux. »
L’idée de cette journée blanche consistait aussi à permettre aux 400 agents de rencontrer les psychologues en petits groupes « pour libérer davantage la parole » souligne Pierre Mériaux, adjoint chargé des personnels.
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