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Constitution

Loi immigration : les conséquences de la « préférence nationale » sur le niveau de vie des personnes et des enfants

Publié le 19/01/2024 • Par Rouja Lazarova • dans : Actu expert santé social, France

pauvreté enfant maman
©gelmold - stock.adobe.com
Selon une étude réalisée par le collectif « Nos services publics » la loi Immigration, si elle est validée par le Conseil constitutionnel, entraînerait des inégalités contraires à la Constitution de la Ve République. En les privant de prestations sociales, elle impacterait le niveau de vie d’au moins 110 000 personnes dont 30 000 enfants présent en France, selon ses simulations.

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L’étude, réalisée par des statisticiens spécialistes du système de protection sociale, des économistes et des agents publics du collectif « Nos services publics », rend visibles les effets potentiels de la loi Immigration et son volet que ses opposants assimilent à de la « préférence nationale ».

En effet, elle conditionne l’accès aux prestations familiales ainsi qu’à l’aide personnalisée d’autonomie (APA) à 5 ans de présence en France ou 30 mois d’activité professionnelle, et les aides personnalisées au logement (APL) à 5 ans de présence, ou à un visa étudiant, ou à 3 mois d’activité professionnelle.

  • Le projet de loi immigration provoque la sidération des associations

A situation égale, traitement inégal

Les experts ont donc fait des simulations en comparant des cas-types de personnes ...

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