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Funéraire

Quand les collectivités invitent les vivants à réfléchir à la mort

Publié le 13/07/2023 • Par Sarah Boucault • dans : France, Régions

maison funeraire
Zeno - Fotolia
Pour renouer avec l’idée de cycle de la vie et répondre aux problèmes de place dans les cimetières, des collectivités cherchent des alternatives aux rites « classiques ». Le grand public, les professionnels et les élus participent à des réflexions portant sur les enjeux du funéraire de demain afin de faire évoluer les usages.

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En octobre 2022, un événement inédit s’est tenu à Grenoble : une journée consacrée à l’histoire des rites funéraires et à leurs alternatives écologiques, ouverte au grand public, aux professionnels et aux élus. Organisée par la ville, la métropole (49 communes, 446 600 hab.) et les pompes funèbres intercommunales, dans le cadre de Grenoble, Capitale verte de l’Europe, cette journée a rencontré un succès inattendu. Plus de 200 personnes ont écouté les sociologues et anthropologues Gaëlle Clavandier, ­Manon ­Moncoq et Martin­ Julier-Costes présenter les enjeux du funéraire de demain et les nouveaux modes de sépulture (humusation, promession, aquamation). Des ateliers de travail ont permis d’en débattre. « La mort est un sujet tabou, mais les consciences se sont éveillées à la suite du Covid », remarque Vanessa Roux-Latour, responsable de la mission « funéraire et fourrière animale » à la métropole.

« En Suisse, 90 % des gens ont recours à la crémation ; en Espagne, des enfeux [tombeaux encastrés dans des murs, ndlr] permettent d’optimiser l’espace. En France, ce n’est pas la mentalité, mais nous devons changer les aménagements et trouver nos nouvelles formes de rites », poursuit-elle.

Des « cafés mortels »

La raison principale de cet événement est de trouver une alternative funéraire aux modes de sépulture classiques, très gourmands en foncier. En France, la majorité des cimetières sont confrontés à un manque criant de place. « ­Grenoble est une cuvette inondable coincée entre trois massifs montagneux, et notre plus grand cimetière est situé entre l’autoroute et l’Isère, explique Eric ­Rossetti, vice-président chargé de la politique funéraire et du cimetière à la métropole. Dans d’autres cimetières, situés sur des nappes phréatiques, les corps sont dans l’eau donc ils ne se décomposent pas. Je souhaite que les mentalités évoluent car on ne va pas empiler les morts, je ne veux pas que l’on fasse des buildings de cimetières ! »

Grenoble Alpes métropole a prévu d’organiserdes assises funéraires en 2024 pour

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