Un contrat de dix ans sur les investissements a été discrètement signé par l’Etat avec SNCF Réseau le 6 avril dernier, entre les deux tours de l’élection présidentielle. Verrouillé par Bercy, il impose un régime de choc au gestionnaire du réseau ferré, alors que l’écologie sera « le combat du siècle », promet Emmanuel Macron.
De son côté, dans son discours de politique générale, le 6 juillet, devant la nouvelle Assemblée, la Première ministre, Elisabeth Borne, a défendu sa « radicalité écologique », et promis que « le ferroviaire restera la colonne vertébrale d’une mobilité propre », et que le gouvernement « continuera les investissements de ces dernières années, pour les transports du quotidien, pour les petites lignes ».
Pourtant, le tout nouveau contrat dit « de performance » somme ...
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Gazette des Communes, Club Techni.Cités
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