Fermer

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Menu

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement

Déchets

Quand l’usine de tri prend le tournant du compostage

Publié le 20/04/2022 • Par Solange de Fréminville • dans : Actualité Club Techni.Cités, France, Innovations et Territoires

biodechets-restes-alimentaires-dechets-ecologie-tri
Adobe Stock
L’usine de tri mécano-biologique évolue vers le compostage et la méthanisation, et veut réduire le volume d’ordures.

Ma Gazette

Sélectionnez vos thèmes et créez votre newsletter personnalisée

[Montpellier Méditerranée métropole (Hérault) 31 communes • 481 300 hab.] Amétyst, la plus grande usine de tri mécano-biologique (TMB) de France, a amorcé en janvier 2021 un tournant majeur. En plus de son activité principale – le traitement des 130 000 tonnes d’ordures ménagères résiduelles (OMR) de la métropole de ­Montpellier –, elle a ouvert une station de compostage des biodéchets et prévoit de commencer leur méthanisation dès que leur quantité (1 800 tonnes collectées en porte-à-porte) dépassera 8 000 tonnes. L’impulsion vient de la métropole, qui a mis ­Amétyst au service de sa politique « zéro déchet », avec la volonté de réduire le coût élevé du procédé TMB. D’autant que « la métropole paye deux fois, pour le traitement des OMR par Amétyst, à 100 euros la tonne, et pour les déchets refusés, leur transport et leur enfouissement en décharge, à 200 euros par tonne », s’agace François Vasquez, vice-président de la métropole délégué à la politique « zéro déchet ».

[80% reste à lire]

Article réservé aux abonnés

Gazette des Communes

Mot de passe oublié

VOUS N'êTES PAS ABONNé ?

Découvrez nos formules et accédez aux articles en illimité

Je m’abonne

Cet article est en relation avec les dossiers

Régions

Réagir à cet article
shadow
marche online

Aujourd'hui sur les clubs experts gazette

Nos services

Prépa concours

CAP

Évènements

Gazette

Formations

Gazette

Commentaires

Quand l’usine de tri prend le tournant du compostage

Votre e-mail ne sera pas publié

Les informations à caractère personnel recueillies font l’objet d’un traitement par La Gazette des Communes du Groupe Moniteur S.A.S, RCS Créteil 403 080 823. Elles sont uniquement nécessaires à la gestion de votre commentaire à cet article et sont enregistrées dans nos fichiers. Pour exercer vos droits, vous y opposer ou pour en savoir plus : Charte des données personnelles.

Déjà inscrit(e) ?

Mot de passe oublié ?

Identifiant et/ou mot de passe non valides

Nous n’avons pas reconnu votre email, veuillez indiquer un email valide, utilisé lors de la création de votre compte.

Un message avec vos codes d'accès vous a été envoyé par mail.

Pas encore inscrit(e) ?

Inscrivez-vous pour accéder aux services de LaGazette.fr et à la gestion de vos Newsletters et Alertes.

M'inscrire gratuitement