Vous entamez votre mandat de président de la FNCC en pleine crise sanitaire. Etes-vous inquiet ou optimiste ?
Je suis partagé. C’est d’abord l’inquiétude qui prévaut, parce que nous n’avons aucune visibilité sur l’évolution de la situation. Même si Roselyne Bachelot évoque une reprise pour la mi-avril, avec une jauge limitée à 5 000 personnes, nul ne sait précisément quelles activités vont reprendre, quand et dans quelles conditions.
Autre motif d’inquiétude : la culture a été cataloguée parmi les activités non essentielles. Ce, malgré des décennies de combat en faveur de l’exception culturelle et l’existence de politiques publiques fortes.
Quelles sont, cependant, vos raisons de rester optimiste ?
Quand cette pandémie sera derrière nous, je pense que nous pourrons enfin aborder différemment ...
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