C’est un revers pour deux projets de safe city, déclinaison sécuritaire de la smart city : la CNIL s’est prononcée contre une expérimentation de reconnaissance faciale dans deux lycées niçois et marseillais, à l’initiative de la région PACA ; elle a aussi donné un avertissement à la ville de Saint-Etienne concernant un dispositif d’écoute de l’espace public, selon une information de Télérama.
En région PACA, ce sont deux portiques ayant recours à la reconnaissance faciale, installés à l’entrée du lycée Les Eucalyptus à Nice et du lycée Ampère à Marseille, qui ont été examinés par la CNIL. Ce dispositif devait « permettre d’assister les agents en charge du contrôle d’accès aux lycées afin de prévenir les intrusions et les usurpations d’identité et de réduire la durée de ces contrôles », note l’autorité.
« Des risques majeurs d’atteinte à la vie privée et aux libertés individuelles »
Le verdict est tombé, dans
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Gazette des Communes, Club Prévention-Sécurité
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