« La mi-juin est normalement la période la plus chargée de l’année pour les échouages d’algues vertes, expose Sylvain Ballu, chercheur au Centre d’étude et de valorisation des algues, une société d’économie mixte basée à Pleubian (Côtes-d’Armor). Le dernier survol aérien, le 17 juin montrait que tous les sites d’échouages d’algues étaient chargés, mais sous les moyennes alors que la baie de Saint-Brieuc était très chargée. »
Conditions sanitaires
Les communautés d’agglomération de Saint-Brieuc et de Lamballe, chargées du ramassage de ces algues, considérées comme des déchets, en ont déjà envoyé 8000 tonnes pour traitement à l’usine de Launay-Lantic ; en 2017, année forte en échouages, 10 000 tonnes avaient été traitées.
Estimant que « les conditions sanitaires ne sont pas réunies », Thierry Burlot, président du syndicat mixte Kerval gestionnaire de cet équipement, décidait de le fermer mercredi 3 juillet. Mais comment expliquer que
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