Côté pile, les grands espaces, la faune sauvage croisée aux abords des chemins de randonnée, un air pur que l’on a désormais du mal à trouver ailleurs. Côté face, le chauffage au fioul du refuge, des eaux usées à peine filtrées, des déchets qui s’accumulent. Les amateurs de montagne ne sont pas à un paradoxe près. « Ici au moins, quand tu arrives, c’est propre. Le problème, c’est quand tu repars », résumaient les Bronzés il y a quarante ans. Les choses ont bien changé depuis… En bien, et en mal. D’abord parce que l’essor du tourisme, conjugué à des attentes de confort qui n’existaient pas auparavant, complique le casse-tête environnemental. Ensuite, parce qu’à l’image de la société, les marcheurs apprennent à verdir leur comportement. Comme les refuges qui les accueillent.
Les énergies ...
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