L’expérimentation dure deux ans et elle est menée par la région Auvergne-Rhône-Alpes en étroite coopération avec l’ensemble des départements. Le principe ? Donner un bon coup de pouce aux allocataires du RSA pour qu’ils retrouvent un travail, par le biais d’un parcours de formation adéquat, d’une durée variable, qui débouchera, à coup sûr, sur un emploi. Les formations fléchées sont en effet en lien avec les secteurs en tension Auvergne Rhône Alpes : métallurgie, plasturgie, services à personne, numérique, hygiène-le nettoyage. « Par ailleurs, nos maisons du territoire vont également repérer des besoins plus spécifiques », souligne Sandrine Martin Grand, vice-présidente du conseil départemental de l’Isère en charge des actions de solidarité et de ...
[80% reste à lire]
Article réservé aux abonnés
Gazette des Communes
Cet article fait partie du Dossier
Action sociale : faire plus avec moins
Sommaire du dossier
- Face à la crise, il faut faire autrement dans le social
- APA : les départements ruraux font contre mauvaise fortune bon cœur
- Peut-on parler d’investissement dans le social ?
- Quand il faut recentrer les fonds disponibles sur des publics prioritaires
- Un dispositif de mobilité professionnelle rétribué pour les allocataires du RSA
- Des évaluations des politiques publiques pour que chaque euro soit bien dépensé
- Mutualiser dans le social, une solution plus complexe qu’il n’y paraît
- Diminuer le nombre d’allocataires du RSA : « ce n’est pas du contrôle qu’il faut, mais du travail »
- RSA : des départements aident les allocataires à retrouver un emploi
- RSA : une charge financière qui étrangle les départements
- Les heures d’aide à domicile mutualisées pour développer l’habitat partagé
- « L’évaluation ne doit pas contribuer à la déshumanisation du travail social qui est déjà en marche »
Thèmes abordés
Régions