L’incivilité au travail peut être ressentie comme l’invasion de son territoire personnel.
« O tempora, o mores ! » La politesse, tout comme la nostalgie, ne serait plus ce qu’elle était. Alors même que l’ambiance professionnelle s’impose, sondage après sondage, aux premiers rangs du bien-être au travail, 42 % des salariés s’estimeraient affectés par les incivilités au bureau ! L’enquête (1) a été menée récemment par le cabinet de prévention des risques psychosociaux Eléas, « justement parce que cette question émergeait de plus en plus dans les échanges conduits avec les équipes sur la qualité de vie au travail », précise Xavier Alas Luquetas, président fondateur d’Eléas.
Or si la conflictualité croissante des relations au public explique pour partie cette triste progression (46 % des ...
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Gazette des Communes
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