Partisan de trois à quatre métropoles d’intérêt européen dotées des compétences départementales, le maire de Lyon sépare le possible du souhaitable. A la question-clé – La métropole a-t-elle vocation à devenir la commune de demain ? – il répond spontanément : On peut penser, à échéance de 15 ou 20 ans, que c’est ce qu’il faudra faire. Mais, aujourd’hui, on ne peut pas dire aux citoyens et aux élus de Villeurbanne que leur commune n’est plus qu’un arrondissement du Grand Lyon. Et Gérard Collomb de rappeler : Mon prédécesseur, Raymond Barre, avait déclaré qu’il était nécessaire que les communes voisines de la communauté urbaine intègrent le Grand Lyon. Cela avait provoqué un tollé. Je préfère la politique des petits pas.
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