Après une hausse continue depuis sa création, le Fonds de solidarité pour les communes de la Région Ile-de-France (FSRIF), enregistre une baisse en 2004, de 6% (158 millions d’euros en 2004 contre 167 en 2003). Les communes riches d’Ile-de-France alimentent ce fonds, qui bénéficient au communes pauvres. Le potentiel fiscal et les bases de taxe professionnelle sont les deux critères de sélection des communes écrêtées. Or, la disparition progressive de la part salaire a réduit les bases de TP, faisant par là même diminuer le nombre de communes contributrices.
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