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Les départements soulignent l’impact financier de la réforme des rythmes sur les transports scolaires et regrettent que ce sujet ait été éludé lors de la concertation. Sur le terrain, les départements, responsables du transport de tous les élèves, n’ont pas tous adopté la même organisation, ni la même politique de prise en charge financière, posant la question de l’égalité des territoires face à cette réforme.
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Rythmes scolaires : les communes à l'heure des choix
« Le transport scolaire est le maillon oublié de la réforme des rythmes », regrette Christophe Trébosc, délégué général de l’Association nationale pour les transports éducatifs de l’enseignement public (Anateep). « Au moment de réunir toutes les associations, force est de constater que Vincent Peillon n’avait pas pensé à l’impact de sa réforme sur les transports scolaires ! », admet Claudy Lebreton, président de l’ADF.
Ils représentent pourtant une lourde charge pour les conseils généraux qui ont la responsabilité de les organiser pour tous les élèves (hors agglomération), de la maternelle au lycée.
Quatre millions d’enfants, dont la moitié en zone rurale, en bénéficient chaque jour, pour un coût de deux milliards d’euros, rappelle l’ADF, soit 4% de leur budget de fonctionnement. « Nous ...
Bonjour, personne n’a penser à l’intérêt de l’enfant sinon c’est le samedi matin qu’il aurait fallu leur donner cours et non le mercredi car ça leur fait une coupure dans la semaine pour mieux dormir, mais les parents n’auraient pas été content de sacrifier leur week-end tandis que le mercredi ça arrange les parents comme ça pas de nounou à payer. Bravo pour la concertation.