« Entre 2012 et 2016, le FPIC est passé de 150 millions à 1 milliard d’euros, alors que la dotation forfaitaire des communes a diminué de 13,5 à 7,4 milliards d’euros », s’insurge Charles-Ange Ginésy, président de l’Association nationale des maires des stations de montagne (ANMSM). D’où « une augmentation exponentielle du poids des prélèvements au titre du FPIC », qui est reconduit à un milliard d’euros en 2017 et 2018. « Cela nous prive d’investir, pour garder nos stations attractives, dans un contexte de concurrence internationale exacerbée », continue Charles-Ange Ginésy qui préside également le départements des Alpes-Maritimes depuis le mois de septembre. Ces deux derniers hivers, la France est passée du 1er au 3e rang de fréquentation des domaines skiables.
FPIC : dix ...
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