Les habitants des quartiers prioritaires politique de la ville ont un état de santé nettement moins bon que celui de la population générale avec une forte prévalence de certaines maladies chroniques, une abondante littérature médicale le documente. Par ailleurs, l’offre de soins y est souvent plus réduite. Enfin, en Ile-de-France, en particulier, s’ajoute une offre médico-sociale limitée pour les personnes âgées dépendantes et les personnes en situation de handicap.
L’Agence régionale de santé (ARS) Île-de-France et l’Agence nationale pour la Rénovation urbaine (ANRU) ont donc signé, le 5 janvier, pour trois ans, un protocole de collaboration visant à mieux articuler le renouvellement urbain avec les enjeux de santé dans les quartiers prioritaires franciliens qui ...
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Gazette des Communes
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