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Communication

Pourquoi l’information donnĂ©e par les collectivitĂ©s locales est prĂ©fĂ©rĂ©e Ă  celle de la presse et de la tĂ©lĂ©vision

Publié le 12/09/2013 • Par Cédric Néau • dans : France

Largement devant la presse ou la télé régionale, les magazines des collectivités sont les supports d’information locale les plus utilisés par les Français, selon un baromètre Epiceum Harris Interactive, publié jeudi 12 septembre. Par leur proximité et leur qualité éditoriale, ils aident à changer quelques comportements, mais ils sont pourtant déficients sur certains sujets, n’apportent aucun bénéfice publicitaire pour les élus et peinent à encourager l’esprit civique.

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Les directeurs de communication vont avoir un argument supplémentaire face à leurs collègues des finances pour discuter des prochains budgets. Le dernier baromètre Epiceum Harris Interactive de la communication locale (1), présenté jeudi 12 septembre devrait en effet les aider à montrer l’efficacité de leur travail et des outils mis en œuvre pour informer les habitants, à l’heure où, crise oblige, la tentation est grande de sabrer dans les budgets com.
Pour un service de communication, « ce document permet d’évaluer et d’éprouver ses propres rĂ©sultats et son expĂ©rience et indique clairement qu’il ne faut pas rĂ©duire les frais de com », reconnaĂ®t ainsi Christian de La GuĂ©ronnière, directeur de l’Agence Epiceum.

La PQR et la tĂ©lĂ© distancĂ©es – Au jeu du benchmark, la communication officielle des collectivitĂ©s territoriales, gagne par KO technique contre les supports indĂ©pendants. Selon l’étude, 84 % des Français dĂ©clarent utiliser la lettre, le magazine, bulletin d’une collectivitĂ© pour s’informer sur la vie locale, contre 68 % pour les chaĂ®nes locales et seulement 50 % pour la PQR (presse quotidienne rĂ©gionale).
Même si cette dernière est reconnue pour la qualité de ses informations, les publications des collectivités sont considérées comme les meilleures sources d’info pour 34 % des personnes interrogées, contre 26 % pour la PQR.

Le magazine distribué par les collectivités locales sont plébiscitées par les Français.

Le magazine distribuĂ© par les collectivitĂ©s locales sont plĂ©biscitĂ©es par les Français. Cliquez sur l’image pour l’agrandir

 

La PQR est à la traîne, les réseaux sociaux émergent.

La PQR est Ă  la traĂ®ne, les rĂ©seaux sociaux Ă©mergent. Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

L’usage d’Internet explose – MĂŞme si le bon vieux affichage et l’encore plus vieux Ă©change entre les habitants sont toujours plus utilisĂ©s pour s’informer, particulièrement dans les villages, les villes moyennes et l’Ile-de-France, Internet s’impose peu Ă  peu.
« Jusqu’à prĂ©sent les sites web indĂ©pendants Ă©taient plus utilisĂ©s et plus apprĂ©ciĂ©s, indique Christian de la GuĂ©ronnière. DĂ©sormais, 62 % des sondĂ©s s’informent sur les sites Internet des collectivitĂ©s contre 51 % pour les non-officiels, et 22 % pensent que les premiers informent très bien contre seulement 13 % pour les seconds « .

Entre 2011 et 2013, l’usage des sites web des collectivités a ainsi progressé de 18 %, alors que, durant la même période, le recours aux sites indépendants, n’a cru que de 1 %.
« Il faut se méfier de ces chiffres flatteurs », remarque Olivier Dulucq, adjoint au maire du village de Treglonou (Finistère) et conseiller au cabinet du président du conseil régional de Bretagne : « Les gens utilisent beaucoup Internet pour trouver des informations pratiques comme les heures d’ouvertures des bâtiments publics. Mais souvent, ces infos ne sont pas mises à jour. C’est alors une pub négative pour la collectivité. L’usage progresse donc indéniablement, mais pas forcément le niveau d’informations proposées ».

Un rapport de la Cours des comptes de juillet 2013 pointe du doigt les dysfonctionnements des stratégies numériques des pouvoirs publics.

De son côté, l’étude montre que les internautes utilisent d’abord le web pour l’accessibilité permanente des informations (55 %) et des services administratifs en ligne (45 %).

Ambitions Ă©ditoriales – A Niort, Eric Fonteyne, le directeur de la communication de la ville, a voulu dĂ©passer ce constat : « Nous avons bien remarquĂ© que les jeunes venaient sur le site pour les agendas des manifestations, mais avec une audience de 3000 internautes par jour, nous avons voulu aller plus loin que l’info service et dĂ©velopper l’information locale vĂ©ritablement plurimĂ©dia, avec une vraie cohĂ©rence Ă©ditoriale entre les supports. »

Le site d'informations de la ville de Niort.

Le site d’informations de la ville de Niort.

Une nouvelle formule multimédia du magazine « Vivre à Niort » a ainsi été lancée, et si son audience n’a pas encore été mesurée, elle a déjà reçu le prix Cap’Com de la presse territoriale 2013 dans la catégorie « Commune de plus de 50 000 habitants ». « L’idée est de passer du service à la participation à la vie de la ville », espère Eric Fonteyne. Une marche difficile à franchir (voir plus bas).

Les rĂ©seaux sociaux dĂ©boulent – Autre tendance lourde, les nouveaux mĂ©dias commencent Ă  se frayer un chemin jusqu’aux yeux des administrĂ©s. Ainsi, 25 % d’entre eux ont recours aux pages officielles des collectivitĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux. Les 25-34 ans sont les plus friands de ces canaux d’info (32 %), mais les + de 65 ans les utilisent aussi beaucoup (28 %).

« De manière générale, les gens s’intéressent assez peu à l’actualité publique, mais c’est encore plus vrai pour les adolescents », résume Eric Fonteyne. « Mais si les informations sont bien ciblées, très illustrées avec photos ou vidéos, elles vont connaître une redistribution fantastique sur les réseaux sociaux », assure-t-il.
Les 18-24 ans sont aussi adeptes des applications pour smartphones, dont l’utilisation est encore confidentielle mais émergente.

Toutes les innovations ne sont pourtant pas forcément bonnes à suivre. « Le QR code et les mini-URL vont être supprimées dans le magazine Vivre à Niort car ces outils sont en fait très peu utilisés », remarque Eric Fonteyne.

Des infos lacunaires – Le 3e baromètre a voulu connaître le type d’infos que les Français cherchent sur les publications officielles. Privilégiant la proximité et le quotidien, les sondés se disent bien informés sur les sujets pratiques, comme la vie culturelle (71 %) et associative (61 %), l’éducation et les activités extrascolaires (59 %).

Les actualités de la vie quotidienne locale bien suivies par la presse des collectivités.

Les actualitĂ©s de la vie quotidienne locale bien suivies par la presse des collectivitĂ©s. Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

En revanche, ils jugent insuffisant le traitement de la vie politique locale (51 %) ou la répartition des rôles entre les collectivités territoriales (37 %) et « sont en attente d’information sur la gestion économique de leurs collectivités : 54 % s’estiment insuffisamment informés sur leurs budgets et 65 % sur le prix des services publics qu’elles proposent », insiste l’étude.

L'actualité publique et financière est insuffisante.

L’actualitĂ© publique et financière est insuffisante. Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

« C’est pourtant une attente minimale », commente l’élu de Treglonou. « La com sert au minimum à informer les citoyens sur les actions de leurs collectivités locales, leurs fonctionnements et leurs financements. Ce n’est pas l’infographie annuelle parue dans la presse au moment des impôts locaux qui fera ce travail d’éducation ».

La com peine Ă  impliquer les citoyens dans la vie publique 

Si le magazine, l’affichage ou Internet trouvent leurs cibles, les échanges directs avec les élus «n’ont pas totalement convaincu les Français », constate le baromètre. Ainsi, seuls 25 % des Français participent à des réunions publiques pour s’informer sur la vie locale, soit une diminution de 10 points par rapport à 2011. Pire, le contact direct avec les élus a perdu 12 points sur la même période passant de 44 % à 32 %.

RĂ©seaux pas si sociaux – Et les contacts sociaux virtuels n’ont pas pris le relais. Les Français ne perçoivent les rĂ©seaux sociaux qu’à 9 % comme un moyen d’avoir une relation directe avec son Ă©lu et qu’à 8 % comme un espace d’échange avec les habitants.
De même, 9 % des sondés seulement utilisent le web pour échanger avec leurs élus. « Est-ce la communication qui a été défaillante ou les dispositifs qui n’ont pas convaincu », interroge le baromètre ?

« Si les dĂ©marches participatives ne marchent pas aujourd’hui c’est qu’on ne parle pas des prĂ©occupations des gens et que les projets Ă  dĂ©battre dans une salle de classe le soir Ă  19 heures, viennent de l’administration et de son agenda », expliquait Pascal Aubert, porte-parole du collectif Pouvoir d’Agir, lors du dernier congrès des dĂ©veloppeurs territoriaux les 3 et 4 juillet Ă  Valence (DrĂ´me). « Tout est jouĂ© d’avance entre les institutionnels car on a du mal Ă  considĂ©rer les gens comme des acteurs et qu’on a peur du conflit », a-t-il insistĂ©.

Un rapport du Comité opérationnel sur les ondes de téléphonie mobile remis le 26 août aux ministres de l’Ecologie, Philippe Martin et de l’Economie numérique, Fleur Pellerin, préconisait ainsi d’éviter les réunions publiques pour débattre de l’épineuse question des implantations d’antennes relais, à cause « de l’absence de représentants de l’Etat et de l’agressivité de certains participants ».

Le baromètre Epiceum précise de son côté qu’« un Français sur deux juge ne pas avoir eu d’informations suffisantes sur la démocratie locale et seuls 40 % estiment que cette info les incitent à participer à la vie publique locale. »

MĂ©thode de web-marketing –Pour Ă©viter ce dĂ©sintĂ©rĂŞt Ă  la chose publique, Niort a par exemple dĂ©cidĂ© d’aller chercher les gens au plus près de leurs prĂ©occupations, en utilisant des mĂ©thodes de web-marketing. Eric Fonteyne et son Ă©quipe a ainsi créé des fichiers thĂ©matiques pour donner une info personnalisĂ©e : « Nous demandons par exemple aux habitants inscrivant leurs enfants en restauration scolaire leur adresse mail pour leur donner des informations sur ce thème. » Une dĂ©marche encore pionnière : selon le baromètre de la com locale, seuls « 11 % des Français utilisent le net pour bĂ©nĂ©ficier d’une info personnalisĂ©e en fonction de leur profil. »

Outil de propagande ou levier pédagogique et civique ?

La communication locale se vante de « produire du changement dans les comportements et d’avoir un effet bénéfique sur la participation au vote », mais aussi de minimiser l’effet propagandiste de ces publications. Optimiste ?

Même si les supports d’informations délivrés par les collectivités locales sont plébiscités, ils ne sont finalement appréciée que par 52 % des sondés. Selon les résultats du baromètre, cette info pousse tout de même à modifier certains comportements (66 % le reconnaissent), notamment en matière de tri de déchets, de modes de déplacements, d’économie d’énergie, etc. 65 % de Français interrogés pensent qu’elle donne une image positive des territoires. Et après ?

L'info donnée par les collectivités modifie les comportements mais pas l'image des élus.

L’info donnĂ©e par les collectivitĂ©s modifie les comportements mais pas l’image des Ă©lus. Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

L’étude veut montrer que « la communication agit sur le civisme, en incitant à participer aux prochaines élections ». Or, plus de la moitié des sondés reconnaissent que l’information locale ne changera rien à leur participation aux votes. C’est particulièrement vrai pour les 18-34 ans, alors qu’une majorité des plus de 65 ans se disent incités à voter à la lecture des infos locales.

« Si la communication pouvait augmenter la participation aux scrutins, ce serait miraculeux », réagit Olivier Dulucq. « On voit bien comment évoluent les budgets de communication lors des différentes élections et les taux de participation ! »

Pas d’effets positifs sur la perception des Ă©lus – Parallèlement, le baromètre Harris Interactive douche les espoirs des Ă©lus qui pensent que la communication leur permettra de se rapprocher de leurs administrĂ©s (40 % seulement des sondĂ©s le pensent) ou d’amĂ©liorer leur image (45 %). Conclusion des signataires de l’étude : Le caractère propagandiste de la communication locale apparait limitĂ©, la communication publique n’est pas la communication politique, les Français ne s’y trompe pas ! » « C’est vrai approuve Olivier Dulucq, mais ils sont aussi bien conscients que l’info locale dĂ©livrĂ©e par les collectivitĂ©s est bien une forme de propagande, au sens oĂą elle dĂ©livre une information de masse sur ceux qui la diffusent. »

L’interco, « la collectivitĂ© » qui monte

« Pas lisible, mais de plus en plus visible », selon Olivier Dulucq, l’intercommunalité trouve sa place dans la communication locale : « C’est normal, car elle a de plus en plus de compétences qui touchent directement le quotidien des gens », explique l’élu. « Ils prennent conscience de son existence ». « L’interco s’incarne dans les services qu’elle rend aux habitants » complète Christian de la Guéronnière. Illustration de son importance, 7 français sur 10 savent désormais que la commune fait partie d’une intercommunalité, contre 2 sur 10 lors de la précédente vague d’enquête en 2011. « C’est l’institution dont la visibilité et les qualités ont le plus progressé dans l’opinion des Français » souligne l’étude.

L'intercommunalité se rend visible, mais moins que la mairie.

L’intercommunalitĂ© se rend visible, mais moins que la mairie. Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

La mairie reste la source d’information de référence : les personnes interrogées jugent son information utile (70 %), pensent qu’elle les concerne directement (69 %) et l’estiment crédible (66 %), mais l’intercommunalité arrive en seconde position sur tous ces items, devant les départements, les régions et l’Etat.

Pourtant, si elle émerge en tant que source d’information, le rôle de l’intercommunalité reste encore opaque pour plus de 70 % des sondés : Ainsi 69 % d’entre eux ne connaissent pas les projets économiques et sociaux de leur interco, 70 % ignorent ses missions spécifiques et 76 % ne savent pas comment sont désignés les élus de ces EPCI, alors qu’ils seront concernés directement par cette élection dès l’an prochain. Un gros travail pédagogique s’impose.

Notes

Note 01 Enquête réalisée du 4 au 13 juin 2013, à partir de l'access panel de Harris Interactive, sur une population de 1000 individus représentatifs de la population françaises, âgés de 18 ans et plus Retour au texte

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Urbarural

13/09/2013 06h19

Les français prĂ©fèrent les magazines institutionnels, et c’est bien lĂ  le problème. En tant qu’ancien journaliste, administrateur d’un Club de la Presse rĂ©gional, j’ai toujours fait la diffĂ©rence entre « journaliste » et « communicant »… deux mĂ©tiers peut-ĂŞtre complĂ©mentaires, mais le second cherchant avant tout, par dĂ©finition, Ă  « faire briller » l’institution qui le paye.
Ce commentaire est strictement apolitique, naturellement.

jean christian

14/09/2013 02h30

Comment peut on Ă©crire puis adhĂ©rer Ă  de pareilles conneries sachant que la majeure partie des gens qui reçoivent ces torchons (dĂ©solĂ© il n’y a pas d’autres mots) ne les lisent pas et les mettent directement Ă  la poubelle, car pour eux il s’agit bel et bien de propagande municipale ou intercommunale? J’ai travaillĂ© un certain temps pour ces collectivitĂ©s pour savoir que ce que l’on y fait n’a rien Ă  voir avec du journalisme et qu’il y a au sein mĂŞme de ces collectivitĂ©s, dans les services com’, des interrogations lĂ©gitimes sur la portĂ©e rĂ©elle de cette prose ou sur ce qu’en attendent les habitants. Les Ă©tudes sont contradictoires et ne dĂ©montrent rien du tout.
Hé bien les gens n’attendent pas grand-chose de ces mags hormis sans doute pour l’information de proximité, les horaires des piscines et des cinémas. Les journaux PQR comme PHR ont encore une certaine longueur d’avance à condition de garder un état d’esprit critique qu’ils ont tendance à perdre sous la pression de ce type d’études lénifiantes qui contribuent à déconsidérer le travail de la presse. Chacun sait que l’on peut faire dire n’importe quoi aux chiffres.

Baptisteb

14/09/2013 11h35

Plus de 80 % des articles de la PQR sont directement issus de communiquĂ©s de presse des personnes intĂ©ressĂ©es, dont les collectivitĂ©s. La PQR les reprend très souvent en copier-coller, photos comprises, sans vĂ©rification de l’info ou sans visite sur place.
Les pigistes de la PQR, payés au lance-pierre pour faire de la simple mise en page sur des sujets répétitifs et qui sont souvent des jeunes étudiants ou des seniors peu au fait des problématiques locales, tronquent ou déforment parfois les informations.
Les meilleurs journalistes/communicants n’ont-ils pas intĂ©rĂŞt Ă  travailler dans les services de communication des collectivitĂ©s plus structurĂ©s, pour un travail tout aussi intĂ©ressant (il y a parfois plus d’info et mieux dĂ©veloppĂ©e que dans la PQR) et mieux rĂ©munĂ©rĂ© ?

Cedric

17/10/2013 01h07

Ai toujours du mal avec ces enquĂŞtes qui, tiens c’est Ă©tonnant, permettent Ă  leurs commanditaires – ici, epiceum – de disposer d’arguments pour vendre des prestations par la suite. Comme le dit Jean Christian, ce type d’infos est tout de mĂŞme Ă  critiquer (au sens de « apporter une grille de lecture »).

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