Le 27 avril, Amélie de Montchalin, ministre chargée des Comptes publics, lançait un pavé dans la mare : dans le cadre du projet de loi de finances pour 2026, un tiers des agences et opérateurs publics pourrait disparaître ou fusionner, avec, à la clé, entre 2 et 3 milliards d’euros d’économies. « On a plein de moyens sans faire dans la casse sociale ou dans la tronçonneuse », a assuré la ministre au Sénat, en mai.
Pour atteindre cette cible, plusieurs leviers sont envisagés : non-remplacement de départs à la retraite, rapprochements d’agences, fusions ou « suppressions sur des missions qui sont échues ». Certaines missions pourraient aussi être réintégrées dans les ministères, à l’image de l’Agence nationale du sport (ANS), selon des pistes relayées dans la presse.
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